VGA (Video Games Awards) 2013: Hello Games, dirigé par Sean Murray, annoncent No Man’s Sky mais passe relativement inaperçu. Le temps passe et très peu d’infos tombent, le doute s’installe, mais que va nous proposer ce jeu aux graphismes atypiques? E3 2014, le teasing n’en finit pas, mais le concept se concrétise un peu plus. Les joueurs PS4 et PC pourront mettre leurs petites mimines sur un tout nouveau jeu d’exploration galactique. Quelques séquences de gameplay nous sont proposées mais le titre reste toujours aussi discret.

Les conférences s’enchaînent et la communication sur le titre commence enfin à éclairer nos lumières: No Man’s Sky proposera à ses joueurs de parcourir une multitude (et encore, le mot est faîble) de systèmes solaires et un univers entièrement imaginés grâce à la génération procédurale. Kezako? En d’autres termes, une génération aléatoire. Les planètes et formes de vie ne seront que le fruit de l’imagination de votre plateforme (PC/PS4).

Après un report de 2 mois, No Man’s Sky est enfin officiellement arrivé entre nos mains, le 10 août 2016. Alors que les joueurs PC ont droit à une très jolie Edition Collector, ceux sur PS4 devront se contenter d’une Edition Spéciale que j’ai très envie de vous faire découvrir (enfin, pour ceux qui ne l’ont pas déjà évidemment).

Son contenu? Je vous laisse le découvrir par vous-même. 


Sous forme de livre (ou serait-ce peut-être un journal de bord?), en carton bien rigide, l’ouverture de cette édition nous propose une bande dessinée (entièrement en anglais, dommage), un superbe artbook et le summum dans ce genre d’édition, un steelbook à l’effigie du logo du jeu.


Ajoutez à cela une petite poignée de contenus « in-game » sous forme de code pour finaliser le contenu. 

Certains trouveront ce butin bien maigre en comparaison à ce qui est  mis à la disposition des joueurs Windows. C’est sûr, sur le coup c’est dur, on le prend mal, mais en ce qui me concerne je me contente très bien de ce que j’ai et ma carte bleue me remercie de ne pas trop l’avoir fait chauffer en cette période de chaleur estivale. 

Allez, petite parenthèse pour votre plus grand plaisir: l’étiquette avec un grand E qui a littéralement fait le buzz ces derniers jours. Pour les plus courageux qui ont osé la décoller, elle masque un PEGI 12 et surtout le logo « multijoueurs ». Pas d’inquiétude, aucune fonctionnalité n’a été supprimée de la version finale mais l’erreur est humaine et ce mystérieux autocollant n’est là que pour masquer une erreur de pressage. 

Petit bonus pour ceux qui l’ont acheté dans les magasins à l’enseigne bleue (non, pas de pub), un magasine entièrement consacré au titre, très intéressant à lire de surcroît. 

Bien que très simple, cette édition semble tout de même avoir conquis le cœur des joueurs PlayStation, dont le mien et celui de Monsieur, et elle marque la fin de l’attente de ce titre aux allures originales mais qui sauront ravir les plus friands d’exploration galactique.