Légèrement après tout le monde me voici enfin en possession de la précieuse Édition Collector d’Horizon Forbidden West. Évidemment, j’aurai préféré que ce soit la Regalla qui soit à l’honneur mais PlayStation et Amazon en ont décidé autrement, à mon grand regret, 2 jours avant la sortie du jeu. Mais trêve de pleurnicheries, voici donc ce que contient cette édition collector.

Avant tout, petit tour d’horizon de son packaging, ô combien imposant, mais c’est pas le pire que j’aie pu voir.

Nous découvrons donc cette belle boîte blanche ou plutôt ce surcarton arborant fièrement le logo et nom du jeu avec à l’arrière quelques infos sur le contenu de l’édition, bref tout ce qu’il y a de plus basique.



Après quelques minutes de réflexion pour comprendre comment déballer la boîte contenant ce qui nous intéresse, on découvre un sublime diorama sur les 4 faces.



Soulevons donc ce que cache ce somptueux packaging pour enfin y découvrir la bête, au sens propre du terme. Voilà donc, sous cette couche de plastique moulé pour protéger la statue du Tremortusk, un mécha semblable à un mammouth. On remarque également la présence de pièces détachées, j’y viens de ce pas.

Cette statue est donc fournie « démontée ». Oui, c’est un bien grand mot, mais il faut bien monter 5 pièces, la trompe et les 4 défenses.

Chaque pièce est associée à une couleur pour facilement repérer où elle doit être emboitée sur la statue.



Facilement repérer, oui, mais quand sonne l’heure de monter les 4 défenses (la trompe s’emboite sans problème), le terme facile perd tout son sens. En effet, il m’a fallu une bonne vingtaine de minutes pour que le tout tienne sans à m’inquiéter de savoir si ça allait tomber ou non une fois le mammouth exposé. C’est mal moulé, mal conçu, on peine à trouver l’orientation exacte avant de « forcer » (avec mesure de sa force pour ne rien casser) pour que ça s’emboite. Bref, je ne suis pas fan du tout du procédé, surtout pour le prix du bazar.

Mais une fois la bête entière et la pression redescendue, impossible de ne pas voir la beauté de cette statue qui fourmille de détails.




Un petit mot sur le poids. Sans être excessivement lourde, elle pèse ses quelques kilos pour justifier de sa qualité mais sans être dans l’excès. On ne parle pas ici d’une statue en résine évidemment mais le rapport poids/qualité est indéniable.

Une petite figurine d’Aloy est également fournie, et elle est évidemment anecdotique, tant par sa présence que par sa qualité globale, mais c’est un détail.

Mais évidemment, ce collector propose d’autres contenus, placés dans un tiroir (sous Aloy, sur la photo ci-dessus), où l’on découvre le steelbook (contenant code du jeu et bonus) et le mini artbook.



Un contenu généreux pour un jeu attendu, une qualité indéniable malgré un montage de quelques pièces douteux, malgré tout je suis ravie de faire partie de ceux le possédant (malgré ma mésaventure).

Avant de terminer cet unboxing, petit florilège de photos du fameux Tremortusk.

J’espère que ces quelques photos vous ont plu. Maintenant, je m’attelle au jeu et à son test!