A l’heure où j’écris ces quelques lignes, nous sommes le 9 novembre 2016, à la veille de la sortie officielle de la PS4 Pro et pourtant certains magasins ont eu l’autorisation de la vendre quelques heures plus tôt. Et ce fut le cas de mon magasin à l’enseigne bleue, qui n’a pas manqué l’occasion de me prévenir. A mon tour de ne pas manquer à mon devoir de remercier mon collègue et ami, C., pour son appel et sa patience.
L’heure est aussi à l’écriture afin de vous dévoiler ma nouvelle acquisition. Inutile de vous préciser que des avis sur les améliorations apportées (ou non, sait-on jamais) par cette nouvelle PS4 plus puissante notamment en ce qui concerne la réalité virtuelle. Commençons par le début, je vous fait découvrir la nouvelle PS4 Pro.
Sony nous a habitué à la sobriété de ses packagings, et on ne s’en lasse pas. Il n’est pas spécialement plus imposant qu’avant mais ce qui est sûr, c’est que la belle est clairement plus lourde qu’une PS4 classique. Ma foi ça se comprend aussi.
Je vous épargne le déballage pas à pas, vous savez à quoi ressemble un carton contenant une console, un HDMI et des notices. Honneur à la machine en elle-même. Je l’ai malencontreusement déballée à l’envers, petit aperçu donc du dessous gravé du logo mythique de la marque et ses 4 logos de touches qui nous suivent depuis 1994 et font offices de patins en caoutchouc.
Alors que le premier modèle de PlayStation 4 était divisé en 2 parties, dont une amovible pour changer sans mal son espace de stockage, cette nouvelle version, à l’image du modèle Slim, n’est qu’en un seul bloc uni qui arbore fièrement un sigle PS argenté.
Outre sa puissance, la PS4 Pro est dotée de quelques nouveautés de connectiques et de look. Alors que bon nombre de joueurs se focalisent principalement sur l’upgrade des jeux en 4K, ce nouveau modèle a également été pensé pour les possesseurs du PlayStation VR. C’est pourquoi, un troisième port USB (les 2 autres étant toujours à l’avant) a fait son apparition à l’arrière de la bête afin de brancher le boitier relié entre la console et le casque ce qui évite qu’il soit apparent.
Grosse nouveauté aussi pour les habitués de la marque, le changement d’alimentation. Qui dit plus grosse puissance, dit plus d’énergie, dit plus grosse alimentation. Alors que nous étions habitués à un câble d’alimentation tout à fait ordinaire (je dirai même universel), cette nouvelle variante de PS4 en a un peu plus à envoyer et s’est tournée vers une alimentation plus typée PC.
Depuis presque 3 ans (à une vingtaine de jours prêt), nous étions habitués à la barre lumineuse sur le dessus de notre console. Relooking oblige, aujourd’hui cette même barre est au premier plan. Un choix esthétique plutôt joli.
La manette aussi a été légèrement repensée. Pas grand changement si ce n’est que la barre lumineuse se reflète sur le haut du pavé tactile. Au delà de ça, en tâtant un peu les gâchettes et les joysticks, on remarquera très facilement que le mécanisme intérieur a été également reforgé, les rendant plus fermes et à mon avis (à voir sur le long terme) moins fragiles.
Phase de déballage terminée. Il est l’heure d’installer la bête et de commencer le transfert de données avec l’autre PS4, ce qui m’a valu un énorme gain de temps. La PS4 Pro est superbe, à elle de me prouver maintenant qu’elle est ce qu’elle prétend être. Je vous ferai part de mes premiers retours sur ses apports dans les jours qui viennent en matière de VR, premier argument qui m’a convaincu d’acquérir cette nouvelle version.
Alors comme ca tu as craqué ! Le portefeuille dois souffrir ! Je suis pas fan du concept et puis pour quelques fps de plus je vais garder mon ancienne PS4 je pense !
J’ai revendu une de mes PS4 classique pour alléger la facture. La 4K et les FPS je m’en fout, n’ayant pas l’écran adéquate. Non je l’ai prise pour la VR. Sans spoiler mes prochains articles, je suis contente de mon achat ^^
Ah oui la VR la cela me semble logique pour le coup !