[Unboxing] Mafia 3: déballage de mon premier press kit

Chers lecteurs, chères lectrices, l’article d’aujourd’hui compte énormément pour moi puisque j’ai la chance de pouvoir vous présenter un unboxing du press kit de mon bien aimé Mafia 3. Cela marque en effet pour moi, un énorme tournant pour le blog et me donne encore plus envie de suivre cette voie. Avant toute chose, j’aimerai remercier de tout cœur 2K France pour sa gentillesse et la confiance qu’ils m’accordent que je prend pour un réel soutien.

Il y a des jours où le contenu de la boîte aux lettres peut nous mettre en joie. En tout cas, ce qu’elle contenait ce soir là, en rentrant de cette journée de dur labeur, m’a énormément émue. En tant que gameuse passionnée et surtout collectionneuse, pouvoir compter ce genre d’édition dans notre gaming room est un réel privilège.

Pour ceux qui n’avaient pas suivi l’actualité sur le blog, vous pouvez lire mon avis sur le troisième opus de la licence juste ici. Maintenant, place à mon déballage maison de mon tout premier press kit.

Les trésors de ce press kit sont contenus dans une très jolie boîte à friandises en métal, un packaging très rétro qui se marie parfaitement à l’ambiance des années 70  et de New Bordeaux où se déroule les faits racontés dans le jeu.

Ouvrons maintenant la boîte de Pandore.

Mais c’est que cela m’a l’air bien fourni là-dedans.

Bien évidemment, le jeu est présent dans son petit emballage cartonné. Les premiers objets commencent à se dévoiler et qui s’inspirent directement du scénario. Ainsi, nous pouvons découvrir la carte de visite de Chez Sammy, le bar-salon du père de notre personnage Clay et un faux étui d’allumette, vous savez le genre qu’on pouvait trouver dans des cendriers en verre sur les comptoirs ou sur les tables.

Et ce n’est pas fini. Plus on en enlève, plus ce press kit nous propose de bien jolies surprises. Place au petit bloc-notes du Royal Hotel que nous avons l’occasion d’infiltrer lors d’une mission de l’histoire. A son ouverture, la date de sortie du titre y est inscrite (à la main s’il vous plaît), une attention très sympathique.Puis,afin de ne pas nous égarer dans les rues de New Bordeaux, 2K a eu la bonne idée de nous fournir un véritable plan de la ville.

Ci-dessus, un écusson en tissu à coudre où bon vous semble (en ce qui me concerne il restera bien au chaud dans sa boîte) du 223ème régiment d’infanterie, pour lequel Clay a combattu pendant la guerre du Vietnam. C’est probablement le logo que vous verrez le plus sur les produits dérivés du jeu.

De plus, l’éditeur a pris le soin d’ajouter un authentique faux journal, une édition spéciale de 1968 du New Bordeaux Tribune avec son lot d’articles et de faux « post-it » soigneusement disséminés un peu partout.

A mes yeux, voici le plus bel objet présent dans cette édition destinée à la presse, une clé et son porte clé. Ne passons pas à coté des détails puisque nous pouvons remarquer au premier coup d’œil que l’ensemble est rouillé et endommagé par le temps qui passe. Nous pouvons également trouver sur cette clé une inscription: « Your key to greater values » (votre clé vers de meilleures valeurs). Cela dit, en analysant un peu plus ce mystérieux objet, nous pouvons en fait nous rendre compte que le porte clé, en forme de tête de mort, cache en fait une clé USB, un petit anachronisme fort sympathique. Pas de contenu supplémentaire sur cette clé, mais d’une capacité de 8Go tout de même. Encore une fois, cela restera dans le domaine de la collection pour moi.

Ces éditions très limitées font rêver beaucoup de joueurs et en ce qui me concerne, la réception de celle-ci m’a comblé de joie tant je pensais que cela n’arrivait qu’aux autres. Encore aujourd’hui, j’ai du mal à réaliser que je possède un press kit. Je ne remercierai jamais assez 2K France pour sa générosité.