Souvenez-vous, le mois dernier je vous ai fait découvrir le déballage de mon premier press kit que 2K France m’avait très gentiment offert: celui de Mafia 3. Et bien il n’était pas arrivé seul puisqu’il était en fait accompagné de celui de Bioshock Collection. Dans l’article d’aujourd’hui, honneur donc à l’unboxing de ce press kit. Pour la énième fois, je remercie 2K France de me permettre de vous proposer ces articles, cela me va droit au cœur.
Je ne vous promet pas un avis dans les jours à venir, il y a tout de même 3 jeux à faire (ou à refaire). Un temps de jeu bien fourni, certes, mais j’ai déjà beaucoup d’autres articles en préparation, qui, je le’espère vous plairont. Bref, ne tardons plus.
Ce qu’il y a de particulièrement merveilleux avec les press kit, c’est la taille qu’ils font pour le contenu qu’ils ont. 2K nous propose un packaging de taille égale à celui de la version presse de Mafia 3, et renferme un contenu de qualité équivalente.
Le sur-carton de ce press kit arbore fièrement le titre de la licence: tout simplement « Bioshock » avec son contour et sa police devenus célèbres aux fils des années. De la sobriété, j’aime ça.
Alors que je déballais mes trésors de leur emballage à bulle, je les ai scruté de fond en comble avant de procéder à l’ouverture des boîtes, un peu comme un enfant qui n’en revient pas de ce que le Père Noël lui a apporté, et c’est à ce moment que j’ai découvert que ce press kit était numéroté au dos du sur-carton. Monsieur et moi-même sommes les heureux possesseurs du press kit de Bioshock Collection sur PS4 numéro 416 sur 450.
Maintenant que j’ai bien repris mes esprits, et que je réalise à peu près ce que je tient dans mes mains, je me décide enfin à retirer l’emballage noir qui fait place à une superbe boîte orangée dont les motifs gravés rappellent l’univers du jeu.
En l’ouvrant, je découvre enfin peu à peu ce que me réserve cette édition presse. Joliment encliquetés sur un support en carton noir, je découvre en premier lieu les deux disques de jeux, l’un comportant Bioshock 1 et 2, l’autre Bioshock Infinite.
L’impatience me gagne. Je continue le déballage. Un magnifique artbook regroupant des images, des concept-arts des 3 opus de la licence ainsi que des récapitulatifs écrits (et traduits, s’il vous plaît). Pour l’instant, j’aime, j’adore.
Pour les décorateurs geeks d’intérieurs, une très jolie affiche recto-verso, qui rappelle les univers de Rapture et de Columbia. Vous me connaissez, la conservatrice que je suis les laissera en sécurité dans leur boîte.
Le meilleur pour la fin comme on dit, et 2K l’a parfaitement compris. Au fond (si je puis dire) de la boîte, nous pouvons découvrir un magnifique pièce en métal, et double-face (non, pile, bref) et qui encore une fois rendent honneur aux 2 univers bien distincts de la licence: Rapture d’un côté sur le quel nous pouvons lire « All good things on this Earth flow in the City » et Columbia de l’autre, avec « There’s always a lighthouse, a man, a city » inscrit.
La morale de cette histoire? Je suis aux anges rien qu’à regarder mes 2 premiers (et je l’espère, pas les derniers) press kit. Que ce soit celui de Mafia 3 ou celui de Bioshock Collection, je ne me lasse pas de les ouvrir, les déballer et les admirer, c’est mon côté très fleur bleue qui prend le dessus. Ils ont des contenus bien différents mais qui représentent à merveille chaque univers. Encore merci 2K France!