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[ Test ] Ninja Gaiden 4 – Entre tradition et modernité, c’est le défouloir qu’il vous faut !

YoannRatcliffe21 octobre 202517 octobre 2025

Co développé par les studios Team Ninja (les séries Nioh, Dead Or Alive, Ninja Gaiden et tant d’autres) et Platinum Games (MadWorld, Bayonnetta, NieR Automata, Astral Chain et tant d’autres), Ninja Gaiden 4 est tout de même le 7ème opus de la saga voyant le maitre ninja Ryu Hayabusa aux prises avec les démons de notre monde. Suite directe de Ninja Gaiden 3, ce 4ème opus de la saga principale entend bien relancer la licence. Est-ce un pari réussi ? Entre tradition et modernité, c’est tout simplement le défouloir qu’il vous faudra le 21 octobre prochain sur PS5, Xbox Series S/X et PC.

VersionDématérialisée sur Xbox Series X, fournie par Xbox
Temps de jeuEnviron 14 heures
Histoire terminéeOui
Complétion totaleNon communiqué
DifficultéMode Héros
Genre(s)Action, aventures, hack and slash
Date de sortie21 octobre 2025
Prix (maximum conseillé)69.99€ sur PS5/89.99€ sur Xbox Series
Plateforme(s)PS5, Xbox Series X|S et PC
VoixJaponais, Anglais
Textes françaisOui
Connexion obligatoireNon

LIRE LE TEST DE NINJA GAIDEN 2 BLACK SUR PS5 PRO

L’histoire ici contée commence donc après celle de Ninja Gaiden 3, où Ryu a réussi à sauver le monde une fois de plus. Sauf qu’un clan autre que celui de Ryu décide d’accomplir sa propre destinée et envoie derrière les lignes ennemies un certain Yakumo, un ninja du clan des Corbeaux. Il aura donc la lourde tâche d’éliminer une personne bien particulière afin d’accomplir une bien sombre destinée, sauf que rien ne se passera comme prévu, lançant donc l’aventure de ce Ninja Gaiden 4.

Je reste évasif du côté du scénario afin de vous garder la surprise intacte. Pour celles et ceux ayant déjà touché à un opus de la saga, rassurez vous, vous ne serez pas dépaysé(e)s. Pour les autres, comprenez que le scénario d’un Ninja Gaiden sert avant tout de justificatif aux très nombreux combats qui vous attendront durant les 19 chapitres de ce quatrième opus de la saga principale. Néanmoins, il faut bien vous avouer avoir passé un très bon moment manette en main en ce qui concerne le scénario pur. De sa narration, à son écriture jusqu’à sa mise en scène, j’ai beau me faire une tonne de jeux à l’année, l’histoire qui m’a retenu ici se laisse vraiment suivre avec un plaisir non coupable.

Alors que vous incarnerez la majeure partie de votre aventure ce nouveau héros vraiment badass et attachant, rassurez vous une seconde fois : Ryu Hayabusa est lui aussi de la partie. En cinématique bien entendu mais aussi… dans le gameplay ! Hé oui ! Mais je n’en dirais pas plus, puisque là encore je vous garde la surprise intacte.

Un mot sur les personnages en présence : si vous incarnerez la majeure partie du temps le fameux Yakumo du clan du corbeau, vous ferez la rencontre de nouveaux personnages secondaires. Grosse mention à Yakumo qui se veut être une passerelle narrative entre les nouveaux venus et l’univers dense de la saga. Quant au reste du casting, mis à part Ryu bien entendu, on compose avec eux mais ne vous marqueront pas vraiment. Rassurez vous, ça fait le travail mais cela s’arrête là puisque nous ne sommes pas là pour prendre le matcha.

Puisque le plus important étant le gameplay, non ? Hé bien, mettez votre ceinture, préparez l’appel à votre psy, mettez votre plus belle camisole de force puisque si vous y jouez à minima en mode normal, vous allez forcément prendre cher. Une fois de plus, Ninja Gaiden n’oublie pas son ADN de jeu difficile et vous cracherez du sang pendant un bon 15-20heures pour arriver au bout de votre calvaire durement et impatiemment attendu.

Néanmoins, et c’est là l’un des premiers bon point de cet opus, c’est son intelligence vis à vis de ses modes de difficultés. Je vais plus particulièrement vous parler du mode héros, qui se veut être un mode facile sur le papier mais à l’intelligence de ne pas vraiment l’être manette en main. Tout d’abord, sachez que vous êtes pratiquement invulnérable. Vous prenez des dégâts, minimes certes, mais vous en prendrez quand même. De plus, les ennemis, leur nombre, leur IA, leur barre de vie, sont identiques vis à vis du mode normal tout en s’aidant d’aides auto et de réglages sur les combos qui se déclencheront à partir d’une même touche mais en même temps permettre aux joueurs d’apprendre d’eux mêmes à déclencher les combos ainsi que d’apprendre lentement la parade et l’esquive. Ce qui me fait dire que le duo de studio n’a pas juste mis un mode facile à l’arrache mais à voulu tout de même ouvrir sa production à un nouveau public qui souhaiterais filer sa chance à ce Ninja Gaiden 4 sans forcément perdre toute motivation devant une difficulté insurmontable pour eux.

Dans ce mode héros donc, les néophytes et le nouveau public pourront vraiment s’amuser, sans forcément rouler sur le jeu, qui lui résistera un peu sans non plus lui refaire le fondement. C’est un entre deux vraiment intelligent puisque accessible à tout un chacun. Quant aux autres joueurs et joueuses qui sont là pour le défi, rassurez vous ! Ninja Gaiden 4 n’est pas et ne sera pas votre ami. Vous avez signé, c’est pour en baver. Vous venez pour cracher du sang, alors vous cracherez votre stock de dentiers en criant Adrienne, je vous le garantis.

J’ai eu le sentiment que ce mode héros se veut être une porte d’entrée pour les néophytes. Plutôt que de les jeter dans un bain d’acide d’entrée de jeu, le jeu va y aller mollo pour leur permettre d’apprendre d’eux mêmes tout doucement mais en prenant de l’assurance pour pourquoi pas continuer sur une difficulté moins permissive. Si de mon côté, j’ai voulu y jouer en mode héros d’entrée de jeu, c’est parce que je n’ai pas le luxe de mettre 30-50 heures dans un Ninja Gaiden en sachant pertinemment que d’autres productions suivront mes phases de test. Cela je n’en est pas terminé avec lui, je compte bien ne pas lâcher ce Ninja Gaiden 4 quand j’aurais du temps libre pour y retourner.

Quant aux armes, l’une des forces d’un opus de la saga, j’ai bien envie de vous laisser la surprise intacte. Tout simplement parce que j’ai aimé les découvrir au fur et à mesure de leur déblocage, je vous garde donc la surprise intacte de votre côté. J’en ai aimé une en particulier que je n’ai pas lâché de sitôt et quand je me replongerais dans cet opus, je pense que je n’y jouerais qu’avec cette arme bien spécifique (oui, on tease fort). Néanmoins, du côté de la personnalisation, sachez que vous aurez droit à deux monnaies d’échanges qui vous permettront d’acheter des combos dans deux magasins spécifiques. Le premier sera votre mentor, le second, directement dans votre menu des armes. Enfin, dans le magasin, outre le fait d’acheter des potions et autres consommables, vous pourrez accepter des petites missions à accomplir durant les niveaux qui vous récompensent plutôt bien. N’hésitez donc pas à sortir des sentiers battus, il y a même des surprises dont je tais la teneur qui vous attendront « sagement » (Mouahahahaha !!! Ahem).

Je finirais la partie gameplay en évoquant la caméra et la partie plateforme. Je suis content de vous annoncer la sortie de l’hôpital psychiatrique après autant d’années de la caméra qui a guéri de ses tourments, ça y est, elle est normale ! Cette fois-ci, la caméra « colle » au personnage et suivra l’action, même quand celle-ci sera extrêmement intense (ce qui arrive pratiquement tout le temps). Champ, contre-champ, balayage, le caméraman a cette fois-ci suivi un entrainement digne d’un pilote de F1 et vous permettra de suivre l’action de la baston en cours avec une précision qui fait un bien fou. Même si il m’est arrivé de me retrouver coincé dans un coin à quelques reprises (c’est des coquins dans Ninja Gaiden 4 il faut dire), je n’ai que des louanges à émettre vis à vis de la caméra (oui, je garde en moi un certain traumatisme de cette folle dans Ninja Gaiden 2 Black). Maintenant, du côté de la plateforme, j’ai parfois maugréé manette en main, notamment quand je ne devais pas prendre le train en marche. C’est parfois un peu brouillon mais considérez mes propos comme du chipotage, vraiment.

Un mot, tout de même, sur la technique. Si, sur Series X, ça tourne en 60 FPS sans aucun souci de ralentissement, j’ai tout de même rencontré un seul « petit » bug particulièrement étrange. Durant un niveau bien précis, pendant un combat bien âpre, je me suis retrouvé « propulsé » dans le niveau en lui même, pour arriver dans une zone en dehors du niveau, débouchant sur le début du niveau sans forcément réussir à revenir à mon point avant ce bug. Il m’aura fallu non pas recharger le checkpoint mais bien recommencer le niveau. Rien de grave en soit mais ca m’a un peu surpris sur le moment.

Sur une toute autre note, visuellement, et les captures maison parlent d’elles-mêmes, Ninja Gaiden 4 est absolument sublime, c’est clinquant tout le temps partout. Evidemment, mention spéciale aux effusions d’hémoglobines qui sont toujours de la partie plus sanguinolentes que jamais.

Bon et mon avis alors ? Il arrive ou pas ? Il arrive, il arrive ! Pour commencer, je n’attendais pas vraiment ce Ninja Gaiden 4, puisque je savais que l’association qui aurait dû nous offrir (feu) Scalebound allait nous faire du propre, du sale, du lourd, bref que cela ne louperais pas. Hé bien, ça n’a pas loupé. Ninja Gaiden 4 allie à la fois la tradition de la saga telle que tout le monde connait mais aussi la modernité du jeu vidéo de maintenant. Tout ça vole dans le mixeur pour nous faire un concentré de défouloir addictif, intelligent et vraiment surprenant, autant dans son fond que dans sa forme. Que ce soit son scénario, un actionner (genre bien particulier du cinéma du film d’action relativement bourrin qui fait fi du bon sens en terme de scénario) comme je les adore, celui de ce Ninja Gaiden 4 m’a vraiment fait passer un bon moment malgré tout de même des ressorts scénaristiques que l’on voit arriver d’assez loin. Néanmoins, c’est bel et bien dans son action débridée, époustouflante et addictive que le titre s’en sort avec les honneurs. De plus, sans vouloir rentrer dans les détails, j’ai également remarqué une chose très intéressante du côté de la gestion des boss qui attendront gentiment de pouvoir vous mettre la main aux fesses.

Mention très bien à ce Ninja Gaiden 4, de sa gestion de sa caméra, ses nombreuses phases de plateformes, à sa bande son très métal (voir même métal industriel par moment), Ninja Gaiden 4 est réellement le défouloir que vous cherchez en cette fin d’année. Si vous l’attendiez déjà, soyez rassurés, le roi est là. Et si vous cherchez un titre qui défoule mais tout en respectant son joueur, donnez sa chance à ce Ninja Gaiden 4, vous en ressortirez content(e) de vous refaire faire le fondement !


Entre tradition et modernité, c’est le retour en grâce du roi de la difficulté, du souverain du pétage de protège dent, du prince du serrage de noix entre bonne famille. Si vous voulez souffrir et crachez vos dents, vous pouvez foncer sans aucun souci puisque Ninja Gaiden 4 vous attend sagement chez vous en quête d’un bon tête à tête avec vous. Pour les autres moins coquins mais tout de même ouvert à la proposition, rassurez vous, vous pouvez tout de même lui donner sa chance, c’est promis, il ira (vraiment) doucement avec vous. Cela étant dit, ce nouveau chapitre de la saga a un arrière petit goût savoureux d’une autre licence forte de l’industrie que l’on ne voit que trop peu…Devil May Cry.

  • Yakumo, la passerelle entre les nouveaux joueurs et la saga, charismatique et attachant
  • Ryu Hayabusa, tout simplement
  • C’est jouissif A MORT
  • Les armes, c’est du lourd
  • La bande son, du très LOURD
  • La caméra, ENFIN sorti de son hôpital psychiatrique
  • Environ 14h en mode héros, c’est du solide pour commencer
  • Le mode Héros, respectueux de l’intelligence de ses joueurs
  • Accessible comme pas permis dans ses options
  • Rassurez vous, vous hurlerez Adrienne entre chaque niveau
  • Ninja Gaiden 4 vous apprendra à ne pas frauder la SNCF (les phases de plateformes contre les trains)
  • La taille des sous titres, un peu riquiqui
  • On en parle de la version physique du côté de chez Xbox ou c’est tabou ?

Auteur / autrice

  • YoannRatcliffe

    Rédacteur augmenté biberonné à la science fiction, explorateur chevronné, adorateur du mouvement cyberpunk, et aime se faire peur sur des survival-horror.

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