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  • [ Test ] Hirogami – Un plateformer qui se plie en quatre

[ Test ] Hirogami – Un plateformer qui se plie en quatre

marypokegamesland2 septembre 20253 septembre 2025

Annoncé en septembre 2024 sur PC puis lors du State of Play de juin 2025 sur PS5, Hirogami est le nouveau jeu de Bandai Namco Studios Singapore (Tekken 7, Tekken 8, Ace Combat 7, Soulcalibur VI) en collaboration avec Bandai Namco Studios Malaysia (dont c’est le premier jeu) édité par Kakehashi Games (Sonokuni). Un jeu de plateformes tout en origami dont la date de sortie est fixée au 3 septembre 2025 sur PC et PS5. En amont de sa sortie, je me suis pliée en quatre pour terminer l’aventure et vous en proposer mon test. Peut-il atteindre le podium de son genre aux côtés de Ruffy and the Riverside? La réponse dans les paragraphes qui vont suivre.

VersionNumérique sur PS5, fournie par l’éditeur
Temps de jeuEnviron 11h
Histoire terminéeOui
Complétion totale83% du jeu – 51% des trophées
DifficultéUnique
Genre(s)Plateformes, Aventure, Action
Date de sortie3 septembre 2025
Prix (maximum conseillé)28.99€
Plateforme(s)PS5 et PC
Voix/
Textes françaisOui
Connexion obligatoireNon

Nous suivons et incarnons Hiro, un artiste capable de se plier en de nombreuses formes animales. Le jeu démarre par la propagation d’un Fléau dont il est témoin, faisant apparaitre de mystérieuses créatures numériques, corrompant aussi les animaux du monde et faisant disparaitre ses pouvoirs. Devenu sauveur du village Shishiki malgré lui, il doit arrêter ce Fléau et sa corruption tout en redonnant ses pouvoirs à la Grue céleste.

C’est peu ou prou le début de l’histoire d’Hirogami qui prend la forme du voyage initiatique d’Hiro, propulsé au rang de sauveur du monde malgré lui. Si ses pouvoirs ne sont initialement pas prévu pour le combat, ils devra les utiliser à cet effet au fur et à mesure qu’il les récupère tout au long de l’aventure. Un scénario somme toute assez classique pour le genre à l’instar de Ruffy and the Riverside sorti en début d’été.

Mais s’il se veut effectivement classique, cela ne l’empêche pas de nous happer dans son univers tout en origami et de papier plié mais surtout grâce à son gameplay qui se voit être lui aussi un véritable vent de fraicheur. Disposant d’une foultitude de bonnes idées, Hirogami fait partie de ces jeux qui prouvent que le genre peut encore se renouveler et surprendre tout en empruntant des mécaniques aux grands noms du genre. Faire du neuf avec du vieux, plus grossièrement, et ça fonctionne.

Au fil que nous avançons dans l’histoire, Hiro récupérera ses nombreuses capacités à se métamorphoser en différentes formes animales. Le tatou, la grenouille, et le gorille sont ses 3 formes principales, nous permettant donc de nous déplacer au travers de ses 10 chapitres divisés en plusieurs stages (niveaux), chacun nous permettant de rétablir les sanctuaires de la Grue céleste, ses pouvoirs au passage, mais aussi de faire face à plusieurs combats de boss. Les bases sont posées et rappellent indéniablement l’âge d’or des jeux de plateformes (Mario, Donkey Kong ou encore Crash Bandicoot en tête de liste).

Chaque forme, interchangeable et invocable à l’envie, a ses propres capacités, rouler à toute vitesse pour le tatou par exemple, sauter bien plus haut avec la grenouille ou encore se balancer sur des lianes pour le gorille. Des capacités qui vont nous permettre de nous frayer un chemin tout au long de l’aventure et de braver les nombreux dangers de son level design.

Car il faut bien le dire, Hirogami est un jeu de plateformes pure souche qui assume une certaine exigence parfois de timing souvent de précision qui vous demandera bien souvent d’être réactifs mais ne sera jamais frustrant ni insurmontable (en tout cas si tant est que vous avez grandi avec Mario, Crash et consorts et que vous êtes à l’aise avec le genre) et encore moins punitif. En découle un gameplay grisant et ingénieux mais qui saura surtout se renouveler à de nombreuses reprises en variant les mécaniques et accessibles à tous.

Outre la nécessité évidente de finir chaque stage pour avancer et continuer notre périple, chaque niveau vous demande d’accomplir de nombreuses missions (terminer en x temps, vaincre x ennemis, amasser x morceaux de papier, etc), à première vue totalement facultatives mais dont les récompenses pourront parfois être fort utiles notamment à la confection d’ornements. Si certains s’obtiennent automatiquement pendant l’histoire, d’autres vous demanderont quelques matériaux pour être fabriqués (notamment l’ajout de cœurs, alias votre barre de vie). Certaines missions vous récompenseront de grues en papier, qui à première vue ne servent à rien, si ce n’est en fait de débloquer les niveaux. De ce fait, il pourra vous arriver d’être bloqués faute d’avoir assez de grues et vous demandant donc de faire certains objectifs encore non atteints dans les niveaux précédents (ça, ça a jamais vraiment été ma tasse de thé et ça le sera jamais).

Autre petite particularité, la rejouabilité de certains stages avec de nouvelles capacités fraichement débloquées. En effet, à l’instar des jeux Lego de TT Games ou encore des Metroidvania, votre premier passage ne vous permettra pas forcément d’ouvrir tous les coffres par exemple, vous demandant de revenir plus tard une fois de nouvelles capacités acquises. Plus globalement, Hirogami dispose d’un level design soigné, plutôt linéaire mais ne manque pas d’une infime dose d’exploration, comme évoqué précédemment, mais qui sait tout aussi bien jouer sur l’horizontalité que la verticalité et donne ainsi une impression de grandeur de ses niveaux, presque même de liberté.

Mais si son gameplay sait nous enchanter, c’est par sa DA que la magie opère peut-être le plus et lui donne cette véritable sensation de fraicheur. Dans un monde entièrement plié en origami, Hirogami est une petite merveille, un véritable bonbon pour les yeux, une petite douceur visuelle. C’est d’une beauté rafraichissante, dépaysante et originale.

Outre ses couleurs, c’est aussi sa photographie qui rend le tout magnifique avec ses flous en arrière plan et ses angles de vues alternant 2D, 3D, et vue du dessus. Le plus difficile sera de se faire à l’effet « stop motion » des animations d’Hiro et ses formes, pouvant rendre parfois le gameplay un tantinet lourd. Pour autant cette photographie assez atypique aura parfois des conséquences, celle d’une mise au point, au sens propre du terme, parfois fastidieuse et qui aura un réel impact sur la visibilité et la lisibilité des environnements, ce qui pour un jeu de plateformes n’est pas idéal.

Sans surprise, la bande originale est teintée de sonorités instrumentales traditionnelles typiquement japonaises, reposantes mais aussi des pistes plus modernes, épiques et rythmées. Le mélange des genres est efficace dans ce à quoi il sert: nous transporter et s’adapter aux situations, accroissant l’immersion dans l’univers tout en restant particulièrement cohérent avec ce qui se passe à l’écran (mais, je n’en dirais pas plus). Son sound design plus généralement est teinté de bruits de papiers qui se plient et se déplient qu’il en est presque enivrant.


Hirogami c’est le petit rayon de soleil de la rentrée et à l’instar de Ruffy and the Riverside au début de l’été, un jeu de plateformes ingénieux, de par son univers et sa DA atypique tout en origami que par ses mécaniques de gameplay qui usent de l’art du pliage japonais. Sans transcender le genre, il réussit malgré tout à lui apporter sa propre patte artistique et un gameplay qui prend à cœur de se renouveler à de nombreuses reprises pour éviter la redondance et la répétitivité. C’est un voyage magnifique, coloré et chatoyant avec ses propres enjeux. C’est aussi un jeu de plateforme qui saura se montrer parfois exigeant mais jamais punitif permettant aux néophytes de partir à l’aventure sans craindre de rester bloquer des heures. Une petite bouffée d’air frais qui mérite qu’on s’y attarde le temps de sa petite douzaine d’heures.

  • Hiro et son pouvoir de métamorphose
  • Le gameplay qui se renouvelle sans cesse
  • Un level design linéaire, digne du genre mais qui saura jouer sur une forme de liberté et d’exploration
  • La rejouabilité de certains niveaux avec de nouvelles capacités
  • La DA, une merveille
  • Le mélange des genres dans la bande originale
  • Une durée de vie parfaite
  • Le déblocage de certains niveaux régie par le nombre de missions effectuées
  • La mise au point qui a du mal à se faire de temps en temps

Auteur / autrice

  • marypokegamesland

    Mangeuse de JRPG depuis 2017, infatigable joueuse des jeux Atlus et RGG, curieuse de nature, dévoreuse de pages noircies.

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