Skip to content
Skip to content
Poké Games Land

Poké Games Land

La passion du jeu vidéo

  • Accueil
  • Jeux Vidéo
    • News
    • Preview
    • Test
    • Test VR
    • Rétro Séance
    • Unboxing
    • Bilans JV
  • Focus
    • Crea’Geek
    • Studio Indépendant
  • Dossiers
    • Dossier
    • Convention
  • Guides
  • High-Tech
  • Mes p’tits états d’âme
    • A Propos
    • Coup de cœur
    • Coup de gueule
    • Question du Jour
  • Geekeries
    • BD/Manga
    • Lecture Geek
    • Roman
    • Critiques films/séries TV
    • Produits dérivés
  • Home
  • Jeux Vidéo
  • Test
  • [ Test ] Hell is Us – Un enfer des autres marquant et addictif

[ Test ] Hell is Us – Un enfer des autres marquant et addictif

YoannRatcliffe1 septembre 202527 août 2025

Hell Is Us, qui sortira le 4 septembre prochain sur PS5, Xbox Series S/X et PC est une nouvelle IP toute fraiche et toute nouvelle développée par le studio Rogue Factor et éditée par Nacon. Pourquoi ce titre me fascine depuis son annonce ? Est-ce pour sa direction artistique ? Sa proposition de laisser le joueur sans aucune aide de navigation ? Ou alors la présence de Jonathan Jacques-Belletête ? Tout ça à la fois et bien plus en fin de compte. Réponse dans un test qui revient d’une guerre qui n’était pas la sienne mais au final a décidé de finir le conflit.

« Pendant une guerre, le présent et le passé sont parfois si proche qu’ils se confondent, on sait où commence le souvenir et où finit le présent. » Léna Allen Shore

VersionNumérique sur Xbox Series X, fournie par l’éditeur
Temps de jeu33 h
Histoire terminéeOui
Complétion totale250G sur 1000 soit 18 succès sur 40
Difficulté(Indulgent)
Genre(s)Action, Aventure, Solo, Anticipation, Fantastique
Date de sortie4 septembre 2025
Prix (maximum conseillé)59.99€
Plateforme(s)PS5, Xbox Series X|S et PC
VoixFrançais, Anglais
Textes françaisOui
Connexion obligatoireNon

Avant que vous n’attaquiez la lecture de ce test, il me faut vous avertir. Hell Is Us traite d’un sujet grave, celui de la guerre civile. Bien qu’un disclaimer apparait lors du lancement de chaque partie, je me permets, toutefois, d’en faire de même. Le PEGI 18+ de Hell Is Us n’est pas anodin puisque certains propos, certaines scènes vont forcément impressionner n’importe quel joueur/joueuse. Moi même ayant le coeur dit « accroché », j’ai souvent été mal à l’aise devant Hell Is Us. Je me permets donc de vous avertir, nous sommes bel et bien en présence d’une œuvre strictement réservée à un public adulte et mature, plus à même de comprendre les sujets ici abordés.

Soldat de la paix des Nations Unies (ON), Rémi, natif du pays d’Hadéa ayant fuit le pays étant enfant, décide de déserter et de rentrer dans le pays qui l’a vu naître afin de retrouver ses parents. Néanmoins, un conflit à ciel ouvert, une guerre civile entre palomistes et sabiniens, déchire Hadéa et c’est dans ce contexte très chargé que vous revenez, vous, dans la peau numérique de Rémi. Alors lancé dans votre objectif, vous ferez la rencontre d’un vieil homme qui vous explique qu’un mystérieux contingent de soldats se trouve un peu plus loin, alors en exploration d’une mystérieuse cité ancienne. C’est alors que vous découvrirez que la guerre civile vient de prendre un tournant « fantastique ». En effet, d’étranges créatures viennent de mystérieusement apparaitre sous vos yeux. Appelés Hollow walkers, elles sont tout simplement invincibles face aux armes conventionnelles. Seul un type d’armes au corps à corps, les armes dîtes « lymbiques », est votre unique chance face à une menace qui pourrait précipiter le monde tout entier, pas que le pays d’Hadéa, vers sa fin…

Et je n’en dirais pas plus ! Vous le savez, on évite le moindre spoil que ce soit. La seule chose que je peux vous dire, en revanche, c’est que ce court et maigre résumé n’est que la (petite) partie émergée de l’iceberg. Plus vous allez progresser dans Hell Is Us, plus de nouvelles réponses appelleront à de nouvelles questions. Chaque enquête que vous résoudrez en ouvre une autre et très vite, ce qui n’aurait dû être qu’un sauvetage familial va se transformer en quelque chose de bien plus grand que prévu. Où le passé a finalement son mot à dire dans les évènements du présent et où l’avenir ne se raccroche qu’à un ensemble de données cachées dont il vous faudra faire toute la lumière.

Toile d’araignée tentaculaire, où il vous faudra démêler tous les fils pour progresser, l’intrigue de Hell Is Us est redoutable. JJB (Jonathan Jacques Belletête) s’est retroussé les manches pour nous proposer une intrigues à multiples tiroirs, tout en nous proposant une nouvelle IP où son univers, son lore, sa mise en scène, ses personnages (Rémi en tête) sont tous crédibles. Les dialogues, fins, ciselés et d’une redoutable efficacité tant ils sont tous pertinents, ont tous leur importance (et je pèse mes mots). Le scénario, la mise en scène, le contexte, d’une extrême lourdeur, sont tous traités avec un profond professionnalisme.

Le contexte, j’insiste lourdement, est celui d’une guerre civile entre deux peuples qui se partagent le pays d’Hadéa : les sabiniens d’un côté, les palomistes de l’autre. Chacun des deux camps à ses propres justifications, motivations et même exactions dans cette guerre. L’intrigue ne prendra aucun camp pour acquis, traite son sujet avec un sérieux et une intelligence qui force le respect. Oui, en quelque sorte, Hell Is Us est une œuvre politique. Mais elle n’est pas une œuvre moralisatrice, dans le sens où elle n’est pas là pour faire la leçon à son joueur. Si vous voulez une morale et ce n’est pas le jeu qui vous la donnera, mais bel et bien vous même, c’est que la guerre n’épargne rien ni personne. Les principes comme notre morale personnelle se retrouvent alors à la poubelle pour espérer survivre un jour de plus. Forcément, au début de l’histoire, on se dit quand même qu’un des deux camps mérite de s’en sortir plus que l’autre… Jusqu’à découvrir l’autre face de la pièce. Un adage, repris par un personnage, dit qu’il y a toujours deux versions de la même histoire et Hell Is Us utilisera cette notion de narration pour vous faire comprendre les tenants et aboutissants de l’une des nombreuses facettes de son lore. Un lore dense, incroyable, d’une complexité surprenante, qui vous demandera d’être attentif et de lire énormément de collectibles glanés sur la route. L’histoire prendra alors de la hauteur et fera de vous bien plus qu’un ancien soldat des Nations Unies mais bien l’espoir de tout un pays en proie aux pires desseins d’une humanité prête à tuer son voisin pour peu que son avis soit différent du sien. N’y voyez pas de comparaison avec ce qu’il se passe dans notre monde réel par contre.

La direction artistique de Hell Is Us, parlons-en, puisqu’elle mérite son petit mot. En un mot comme en cent, mis à part les théâtres de guerre sur lesquels vous allez intervenir dans votre très longue quête, qui eux, plus particulièrement m’ont vraiment impressionnés (non je n’en dirais pas plus, mais certaines scènes au détour d’une ruelle, d’un intérieur ou même carrément en plein marais près d’un arbre sont vraiment marquantes), c’est bel et bien la DA dans les donjons qui m’ont mis une énorme claque. Outre le côté graphismes, c’est bien le côté artistique que j’applaudis. C’est inédit, c’est superbe, c’est rempli de détail tout le temps, partout, bref, j’ai pris ma gifle !

Outre son scénario, sa narration et son incroyable lore, Hell Is Us n’en a pas fini avec son joueur. Puisque du côté du gameplay, le studio a aussi travailler son sujet et nous livre une copie (presque) parfaite. Tout d’abord, oubliez tout marqueur de quête que ce soit. Oubliez votre mini map, oubliez votre journal de quêtes et surtout oubliez tout de suite d’être guidé comme on en a souvent pris l’habitude. Ici, il vous faudra faire preuve de curiosité, d’utiliser votre instinct, d’être à l’écoute de tout le monde et surtout d’être attentif à tout. Pour la résolution des énigmes qui parsèmeront votre route, il y a deux écoles : après avoir bien exploré et lu tout ce qu’il y avait, soit vous avez de la chance et vous résoudrez l’énigme très facilement, soit il vous faudra vraiment avoir du bol. Le jeu vous donnera tout ce qu’il faut pour élucider l’énigme et ce sera à vous de comprendre la logique. Et si vous n’y arrivez pas, hé bien, le jeu vous mettra un gros stop puisqu’il ne vous aidera en rien. Dans Hell Is Us, vous êtes réellement livré à vous même et devrez vous débrouiller comme un(e) grand(e). D’ailleurs, en parlant d’élucider des mystères, sachez que vous pourrez venir en aide aux habitants d’Hadéa et que si vous ne le faîtes pas rapidement, il se peut que vous ayez une petite surprise (mais pas de celles que vous allez apprécier par contre) vous attendra bien sagement à votre retour…

En temps normal, j’aime le fait qu’une œuvre fasse autant confiance à son joueur en vous faisant s’immerger plus profondément dans son univers, tout en l’aidant un peu si besoin, la proposition faite par le studio se veut à la fois jusqu’au boutiste et d’un extrême qui peut abattre le premier joueur venu. C’est, pour moi, à double tranchant. En étant franc avec vous, j’ai buté sur deux énigmes dans le scénario principal et je n’ai tout simplement pas compris la logique derrière ces deux énigmes bien précises. Surtout quand j’ai eu la résolution de l’énigme sous les yeux, je me suis réellement gratter la tête en me disant que ce n’était pas « logique ». Puisqu’à force de retourner le problème dans tous les sens, découvrir le fin mot de l’énigme m’a vraiment mis un coup dans le sens où la solution était beaucoup trop éloignée de son problème pour correspondre à la « logique » de son problème.

De ce fait, le fait de vouloir laisser tranquille son joueur de la sorte restera à votre entière discrétion. Si, de mon côté, je salue réellement ce parti pris de la part du studio, je sais aussi que pas mal de monde pourrait se détourner de l’œuvre pour ce même parti pris. Mais, puisque je compte bien le (re)découvrir sur PlayStation 5 prochainement, je compte bien me mettre une petite solution à côté de moi pour gagner un peu de temps. Cela tombe bien, puisque Hell Is Us est ce genre d’œuvre qui m’aura offert le plaisir de prendre des notes tout au long de son aventure. Hé oui ! Souvenez vous de votre enfance où vous preniez, vous aussi, des notes pour les besoins d’un jeu ! Hell Is Us m’a rappelé toutes ces œuvres où j’étais « obligé » de prendre de quoi noter afin de pouvoir progresser, résoudre des énigmes et ainsi de suite.

Ma plus grande crainte sur Hell Is Us était sa difficulté puisque je ne savais pas si nous avions affaire là à un Dark Souls like, un genre certes devenu une mode mais aussi un terme beaucoup trop utilisé à tort et à travers. Je l’ai précédemment dit dans sa preview, Hell Is Us peut-être à la fois un Dark Souls like ou peut ne pas l’être. De mon coté, si j’y ai joué dans sa difficulté « indulgent », sans toucher aux autres options de difficultés telle que le fait d’augmenter ou diminuer les dégâts subis/reçus ou l’agressivité des ennemis, il m’aura fallu m’investir dans son gameplay, notamment sa mécanique d’énergie lymbique. Hell Is Us fusionne votre barre de vie et d’endurance, ce qui implique donc que plus elle sera basse, moins vous aurez d’endurance pour esquiver, parer ou taper. Néanmoins, à chaque coup que vous porterez, les dégâts que vous infligez seront convertis en énergie lymbique qui pourra vous soigner si vous avez le réflexe de la récupérer dans le bon timing.

Pour le reste, Hell Is Us se joue au corps à corps et vous aurez aussi de quoi vous défendre grâce à votre drone qui vous prêtera assistance ainsi qu’à des super attaques suivant un archétype de 4 couleurs (qui sont expliquées par le scénario), qui vous offriront de quoi vous faire une sorte de build. De plus, vous pourrez aussi choisir avec quoi vous allez vous battre, entre une épée toute simple et basique, un combo double hache et ainsi de suite. Je finirais là dessus, un système d’upgrade est mis en place et vous permettra d’augmenter le rang de vos équipements, vous permettant dès lors de faire de plus en plus mal.

Outre le côté artistique, l’Unreal Engine 5 offre à Hell Is Us des graphismes époustouflants et mis à part des ralentissements sporadiques en mode performances, je n’ai eu aucun problème techniquement parlant. Pas de bug, pas de freezes, aucun soucis donc. Même si, et je salue l’ajout au day one d’un mode photo, ses filtres de couleurs, pourtant bien présents dans les options du mode photos ne fonctionnent tout simplement pas. C’est bien la première fois que je vois ça d’ailleurs.

Un mot tout de même, sur la bande son, qui sublime tout simplement l’aventure. Elle se veut être accompagnatrice quand il le faut et se met en retrait quand la narration veut avant tout installer un silence quasiment solennel mais là encore, la bande son de Hell Is Us marque le joueur que je suis. Un énorme bravo pour le main thème, qui rappelle fortement celui de la série Dark, créée par le duo allemand Baran bo Odar et Jantje Friese dans sa direction artistique. Du côté du doublage, nous avons droit à la présence exceptionnelle de Elias Toufexis, le légendaire Adam Jensen, la VFQ n’est pas en reste non plus. Oui, j’ai bien dit VFQ pour Version Française Quebéçoise, puisque nos acteurs et actrices de doublage pour la version française ne le sont pas totalement. Rémi est doublé par Paul Sarrasin, qui double notamment Tom Hardy dans Mad Max: La Route du Chaos (Fury Road chez nous) au Québec.

Maintenant que le tour du propriétaire est fait, je vais pouvoir vous en parler de ce Hell Is Us, enfin ! Bah oui ! Allez, c’est parti !

Pour celles et ceux qui me suivent, vous le saviez, Hell Is Us fait partie des titres que j’attendais le plus en ce début septembre. Alors pouvoir vous en faire un test dans les conditions dans lesquelles j’ai accompli ma partie sur Xbox Series X est un insigne honneur pour moi. Si dans mes premières heures, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre, outre un énième action aventure dépourvu de toute aide pour le joueur, c’est véritablement au début de l’Acte 2 que Hell Is Us m’a mits une grosse gifle. Tout d’abord, son scénario, où réellement je ne m’attendais pas à une telle maitrise, au fait que le joueur soit lâché dans la nature de la sorte où le jeu lui même lui est complètement hostile, en quelques sortes, et dans le fait de devoir se débrouiller tout seul fait que malgré avoir buté sur des énigmes présentes dans l’histoire principale et avoir ressenti une certaine « lassitude », je me suis finalement surpassé afin d’accomplir une aventure plus marquante que je ne l’aurais cru au préalable. Malheureusement, si je dois rester évasif afin d’éviter tout spoil que ce soit, sachez néanmoins que votre investissement dans Hell Is Us vous sera rendu au centuple.

Totalement addictif, en ce qui me concerne, ce Hell Is Us l’est complètement, à tel point que je ne pensais qu’à mon aventure pendant mes heures de travail, à la façon que j’allais résoudre telle énigme, où alors aller dans tel lieu pour l’explorer en profondeur, ou encore suivre une piste différente. Je ne l’ai donc pas lâché une seule minute et je n’avais qu’une envie quand je n’étais pas en train d’y jouer : y retourner immédiatement.

De son incroyable lore à son scénario d’une redoutable intelligence, dans son gameplay bien géré, à sa proposition (à l’extrême) de laisser le joueur se débrouiller sans aucune aide que ce soit, Hell Is Us n’a pas fait que dépasser mes attentes que j’avais placé en lui, il les a explosées, émiettées sur l’hôtel d’une expérience sans commune mesure. Tout n’est pas parfait certes, par exemple le fait de lâcher aussi violemment le joueur aurait pu être différente et pas aussi brute de décoffrage mais quelque part, je trouve que JJB et le studio Rogue Factor n’ont peut-être pas souhaité faire les choses à moitié et y aller franco dans le souhait voulu de cette expérience afin de vraiment piquer au vif le joueur et ainsi mieux le marquer. De ce fait, oui, mon aventure a souvent été éprouvante (ces maudites portes fermées à clé ou de l’autre côté de la dite porte…) mais j’en retire un souvenir. Celui d’une expérience sans commune mesure qui pousse le joueur à se surpasser, à observer, à tenter des choses, à explorer, pour mieux découvrir son environnement immédiat pour mieux résoudre le casse tête du moment.

Si j’aurais aimé avoir un NG+ à la fin de la partie, je sais par contre que je n’en ai pas fini avec Hell Is Us. J’ai encore tant de choses à découvrir dans son univers que je sais qu’une nouvelle partie s’imposera rapidement. C’est en soi la force des grandes œuvres, le fait de réussir à captiver autant son joueur alors même qu’il lui rendra la vie dure qui fait qu’on en ressort certes épuisé mais cela reste une sorte de « bonne » fatigue, une de celles où on se dit que nous ne sommes pas fatigués pour rien…


Je l’ai attendu impatiemment mais ça y est, j’ai fini Hell Is Us. Si le bébé de Rogue Factor et de Jonathan Jacques Belletête a dépassé mes attentes, il est allé plus loin, beaucoup plus loin même. Je ressors de Hell Is Us à la fois fier de moi, éprouvé par une aventure sans commune mesure qui exige énormément de son joueur, mais, et c’est le plus important pour moi, j’en ressors marqué au fer rouge. Marqué par une expérience inédite, inoubliable, qui jette aux orties nos habitudes de joueurs, assistés par de nombreuses aides, qui les laisse se débrouiller tout seuls comme des grands. Si je peux comprendre votre réticence, je vous invite néanmoins à faire fi de votre petite voix et vous plonger dans Hell Is Us comme je l’ai fait. Il le mérite, vous aussi, le studio également, puisque des œuvres comme celle-ci, pas sûr que nous en ayons beaucoup à l’avenir…

  • Une proposition de pas aider le joueur maitrisée…
  • Un scénario d’une incroyable et inédite intelligence
  • Un lore dense, là encore totalement nouveau dans le jeu vidéo actuel
  • Une œuvre politique qui ne tombe pas dans la leçon de morale
  • Rémi, charismatique à souhait
  • Un gameplay ardu, accessible mais terriblement addictif
  • Une parfaite durée de vie, sans tomber dans la répétitivité
  • Une œuvre à destination d’un public adulte et mature, vous êtes donc prévenu(e)s
  • … Mais qui aurait pu être amenée d’un façon moins « extrême »
  • Les filtres du mode photo qui ne fonctionnent pas
  • Quelques ralentissements sporadiques
  • Un NG + serait une excellente idée

Auteur / autrice

  • YoannRatcliffe

    Rédacteur augmenté biberonné à la science fiction, explorateur chevronné, adorateur du mouvement cyberpunk, et aime se faire peur sur des survival-horror.

    Voir toutes les publications

Articles similaires

Navigation de l’article

Previous: [ News ] L’actu de la semaine – Du 25 au 31 août 2025
Next: [ Test ] Daemon X Machina: Titanic Scion – Une suite qui ne contentera pas le fan de mécha que je suis

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

  • Twitter
  • Instagram
  • Twitch
  • YouTube

Conseils lecture

The Augmented Post
Couple of Gamer
JRPGFR
State of Gaming
The Angel Master
Copyright All Rights Reserved | Theme: BlockWP by Candid Themes.
Gérer le consentement aux cookies
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}