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  • [ Test ] Doom The Dark Ages – Le défouloir ultime

[ Test ] Doom The Dark Ages – Le défouloir ultime

YoannRatcliffe29 mai 202529 mai 2025

Après avoir rebooté Doom en 2016 et lui avoir offert une suite en 2020, nommée Doom Eternal, Id Software nous offre un troisième (et dernier ?) épisode préquel se déroulant bien avant l’opus de 2016, The Dark Ages souhaite à la fois convier les puristes et les nouveaux venus aux festivités du Slayer. Pari réussi ? Oh oui ! Doom The Dark Ages est dispo sur PS5, Xbox Series et PC depuis le 15 mai 2025.


VersionNumérique Premium sur PS5, jouée sur PS5 Pro, fournie par l’éditeur
Temps de jeu26h
Histoire terminéeOui
Complétion totale90% (27/29 trophées)
DifficultéFais moi mal (normal)
Genre(s)FPS, Action, Aventure, Solo
Date de sortie15 mai 2025
Prix (maximum conseillé)79.99€
Plateforme(s)PS5, Xbox Series S/X et PC
VoixFrançais, Anglais, Italien, Allemand, Espagnol, Russe, Polonais, Portugais, Japonais
Textes françaisOui
Connexion obligatoireNon

Dans Doom, vous incarnez le Slayer, un être redoutable ayant une (grosse) dent contre les démons. Motivé par une haine viscérale, il n’a de cesse que de démembrer, mutiler, trucider, éviscérer et plein d’autres verbes en « ER » ses ennemis démoniaques. Postulat de départ simple mais loin d’être simpliste, la saga Doom est le défouloir ultime par essence. Bien avant les évènements décrits par le reboot de Doom en 2016 et Eternal en 2020, The Dark Ages se charge de nous raconter l’un des premier fait marquant de l’histoire du Slayer. Sans non plus entrer dans l’Origin Story, puisque chaque force en présence, que ce soit l’Humanité, les démons ainsi que les Maykr, connaissent l’existence du Slayer, The Dark Ages nous renvoie bien des millénaires en arrière, quasiment au Moyen Age pour nous raconter les faits d’une guerre entre tout ce gentil monde, bien que du côté des démons, ils soient commandés par le Prince Ahzrak, redoutable démon ayant pour l’ambition de devenir le plus puissant afin de prendre le contrôle de la Terre pour lui et ses légions de démons. Sauf qu’un grain de sable va s’évertuer de lui pourrir la journée : le Slayer et par extension : VOUS !

Côté scénario, si vous avez ci dessus le postulat de départ, je n’en dirais pas plus. Bien écrit avec une mise en scène classique mais efficace (cinématiques dotées de bande noires pour donner un effet cinéma), j’ai tout de même remarqué un manque de liants en termes de narration entre les chapitres (22 chapitres composent l’histoire de ce Dark Ages contre 13 pour le Doom de 2016). C’est à dire qu’entre certains chapitres, les wagons ne sont pas toujours (bien) raccrochés pour nous offrir une histoire fluide. Cela m’a demandé, parfois, de raccrocher moi même l’histoire. Néanmoins, on se laisse embarquer dans une histoire qui se laisse suivre avec un immense plaisir bien que, précision oblige, nous sommes toujours en face d’un Doom. Le scénario est juste prétexte à un défouloir et n’a jamais eu vocation à être plus que ça.

Mais rassurez vous, parce que côté baston et castagne, vous êtes en face d’un sacré énergumène. Que ce soit dans la peau du Slayer ou bien dans un Atlan (si vous avez vu Pacific Rim de Guillermo Del Toro, pas besoin de rentrer dans les détails, vous savez déjà de quoi je parle) ou bien à dos de dragon, vous allez casser du démon par paquet de quarante douze.

Sauf que la « petite » nouveauté de ce Dark Ages, c’est votre bouclier tronçonneuse. Exit les pirouettes et les cabrioles de Eternal, ici vous êtes une vraie machine de guerre bien lourde, imposante, la vitesse de déplacement en plus et vous allez devoir garder vos positions face à vos ennemis en vous servant de leur attaques contre eux. Effets garantis ! De plus, l’utilisation du bouclier ne s’arrête pas à la baston puisque vous pourrez toujours l’utiliser dans votre exploration en accédant à des endroits en hauteur ou pour vous créer une plateforme d’escalade. Au rang des armes, comptez en 11 dont certaines auront deux déclinations comme le Shotgun et le Super Shotgun ou le lance grenade et le lance roquettes. Certaines font plus mal que d’autres comme l’Accélérateur (mon arme favorite) ou le Concasseur qui fait son effet.

Je l’ai dit plus haut, The Dark Ages est composé de 22 niveaux linéaires, certains sont plus ouverts que d’autres et jouissent tous d’une ambiance sans cesse renouvelée. La Direction Artistique n’est pas en reste non plus et nous gratifie de décors tous plus superbes si on accepte l’identité bien sombre de l’univers. De plus, chaque niveaux vous demandera de réaliser certains défis et comportent tous des collectibles vous permettant de les échanges contre des améliorations dans une boutique dédié interne au jeu (pas de microtransaction, je tiens à le préciser). Dommage que le trophée « Berserker » soit à priori bugué, ce qui m’aura forcé à accomplir l’ensemble du jeu sans aucune amélioration en ce en mode normal. Rassurez vous, je l’ai fait exprès, puisque j’ai visé le Platine et je n’en tiens aucune rigueur à ce The Dark Ages.

Développé à partir du moteur maison ID Tech 8, Doom The Dark Ages offrent des graphismes au service de sa direction artistique, j’en ai pris plein les yeux à longueur de temps. Côté technique, sur PS5 Pro pour rappel, je n’ai rien de plus à dire tant mes multiples sessions se sont toutes très bien passées. C’est fluide, c’est beau, c’est démoniquement divin à l’œil.

Un mot, tout de même, sur le doublage français, je citerais pèle mêle : Charlotte Daniel (la Commandante Thira), Jérémie Covillault (le Commandant Valen), Frédéric Souterelle (le Roi Novik), Loïc Houdré (le Kreed Maykr) et Serge Biavan (le Prince Ahzrak). De très haute qualité ce doublage français, non ?

Je finirais, avant de vous donner mon avis, sur la bande son. On dit, malheureusement au revoir à Mick Gordon, gentiment remercié durant la composition de l’OST de Doom Eternal, pour des raisons obscures (dont je ne reviendrais pas, faute de contexte clair et précis) et on dit bonjour à Finishing Move et pour être précis, du quatuor Brian Lee White, Brian Triton, Jay Wiltzen et Alex Klingle qui ont notamment composés les OST de The Callisto Protocol, Halo Wars 2, Grounded et Borderlands 3 (entres autres, je ne citerais que les plus connus). Si d’ordinaire le quatuor, sous le label Laced Records, composent avant tout de l’electro, de la pop voir même du classic, ici ils sont partis sur les traces de Mick Gordon pour essayer au maximum de garder l’identité Metal/Rock qui tâche. Au premier abord, malheureusement, la bande son de The Dark Ages n’est pas à la hauteur de deux précédents opus, il faut tout de même saluer l’effort et le travail accompli par le groupe. Que ce soit ingame durant les bastons bien péchues voire même pendant mon travail, je salue volontiers le groupe qui nous offre une OST qui a envie de nous proposer une identité propre, unique et motivée par le souhait de respecter à la fois l’identité de l’œuvre mais aussi les joueurs qui aiment (comme moi) la bande son de la première heure.

Je ne vais pas y aller par quatre chemins : Doom The Dark Ages, bien que je l’attendais de pied ferme, est une claque absolue et magistrale. J’en ai pris plein les yeux, j’ai roulé des mécaniques durant un bon 26 heures de bonheur intense et ininterrompu et je me suis défoulé comme pas permis. En un mot comme un cent, il rejoindra la petite liste de jeux que je vous recommanderais le plus en fin d’année. C’est bien écrit (pour du Doom), ça se laisse suivre avec grand plaisir malgré ici et là un ou deux petits couacs de narration mais qu’est-ce qu’il défoule ! Pour entrer dans les précisions, sachez que j’ai eu beaucoup de mal avec Doom Eternal puisque je n’aime pas les plateformers. Alors en vue FPS, il m’a vite gonflé et je l’ai laissé tomber. J’ai tellement adoré The Dark Ages que je compte bien lui filer sa chance à nouveau quand j’aurais le temps de le faire puisque je n’ai pas envie d’abandonner un univers que j’aime vraiment. Si je pourrais émettre un grief envers ce The Dark Ages, c’est son absence de mode photo. Je ne comprends pas comment des jeux aussi beaux n’aient pas un mode photo. The Dark Ages n’est pas le premier (ni le dernier à rejoindre la liste).

De plus, d’entrée de jeu, j’ai voulu me lancer dans la course au Platine, de ce fait, j’ai accepté le bug du trophée « Berserker » me bloquant donc les améliorations du bouclier et des armes. Cela ne m’a pas posé de problèmes mais il me fallait tout de même l’évoquer avec vous. De plus, fait vraiment intéressant, The Dark Ages jouit d’une accessibilité à toute épreuve, permettant à n’importe quel joueur et joueuse de lui filer sa chance, notamment en paramétrant sa difficulté. Les démons vous font trop mal ? Baisser donc le taux de leur dégâts ! Vous voulez les faire souffrir plus longtemps ? Baissez vos dégâts, le combat durera plus longtemps ! Vous l’aurez compris, vous pouvez donc vous offrir une expérience de jeu à la carte et le studio a vraiment géré son affaire de ce côté là. Pour finir, un mot sur la trilogie en elle même qui nous propose donc à chaque épisode une identité propre. Ils se jouent tous d’une certaine manière, d’un opus à l’autre, nous offrant alors à tous, le choix d’avoir notre propre épisode préféré. De ce fait, je vous l’affirme, The Dark Ages est devenu mon opus favori de la trilogie parce qu’en total connexion avec ma façon de voir un combat : en frontal, en prenant position et en démontant tout ce qui se trouve devant soi.


Pari plus que réussi pour Id Software qui nous propose un opus qui conclut une trilogie relancée en 2016 qui se dote d’une identité bien à lui. Il se joue différemment des opus précédents mais c’est pour mieux marquer le joueur et la joueuse qui se lancera dans un carnage frénétique qui fait un bien fou. Mis à part quelques couacs (absence de mode photo, de Mick Gordon et d’un souci de narration par moment), Doom The Dark Ages est un bain de sang qui me marquera durablement. Absolu chef d’œuvre de son genre, ses cicatrices ne le diminuent pas, bien au contraire. Bref, si vous cherchez une porte d’entrée dans Doom, ne cherchez plus : jetez vous sur ce The Dark Ages, il vous accueillera à bras grands ouverts avec toute ses options d’accessibilité en prime !

  • Qu’est-ce que ça défoule !
  • Le Slayer, bien classe et ultra charismatique
  • L’histoire, qui se laisse suivre avec un plaisir non dissimulé
  • Finishing Move, il mérite d’être encouragé et remercié, alors merci ! Un coup d’essai de haute volée…
  • Une durée de vie respectable
  • Un rythme sans cesse renouvelé
  • Le doublage français, que du lourd !
  • Certaines armes qui font bien mal
  • Le bouclier tronçonneuse !
  • Bon les démons là, rendez nous le mode photo ou je viens le chercher moi même
  • Un ou deux soucis de narration par moment
  • …Mais qui ne fait pas oublier l’absence de Mick Gordon

Auteur / autrice

  • YoannRatcliffe

    Rédacteur augmenté biberonné à la science fiction, explorateur chevronné, adorateur du mouvement cyberpunk, et aime se faire peur sur des survival-horror.

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