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[ Test ] Death Stranding 2: On The Beach – L’art de rendre cette suite indispensable

YoannRatcliffe31 juillet 202531 juillet 2025

Disponible depuis le 26 juin 2025 exclusivement sur PS5, Death Stranding 2 On The Beach est la suite directe de Death Stranding sorti en 2019 (disponible sur PS4, PS5, Xbox Series S/X et PC). Toujours développé par le studio Kojima Productions, on retrouve Sam Porter Bridges 11 mois après la fin du premier Death Stranding. Suite simpliste ou nous avons affaire là à un nouveau coup de maître de Hideo Kojima et ses équipes ? Tout simplement un chef d’œuvre absolu, qui n’est pas à mettre entre toutes les mains. Pourquoi ? Comment ? Mon avis sur une œuvre qui me marquera pendant longtemps.

Même si l’avenir est le résultat de tous les présents qui le précédent, demain n’appartient pas à aujourd’hui. Vivre revient à se projeter dans l’avenir. Un avenir où l’on arrive inévitablement. Pourtant, notre place dans cet avenir n’est pas forcément celle que l’on imagine. Kobo Abe, A la recherche du Présent.

VersionNumérique sur PS5, testée sur PS5 Pro, fournie par l’éditeur
Temps de jeu103 heures
Histoire terminéeOui
Complétion totale65% des trophées
DifficultéNormal
Genre(s)TPS, Action, Science Fiction
Date de sortie26 juin 2025
Prix (maximum conseillé)79.99€
Plateforme(s)PS5
VoixAllemand, Anglais, Espagnol, Français, Italien, Japonais, Polonais, Portugais, Russe
Textes françaisOui
Connexion obligatoireNon

Dans Death Stranding, vous incarnez Sam Porter Bridges (qui est lui même incarné par Norman Reedus (Blade 2, The Walking Dead) qui s’avère être un « Porteur », capable d’abattre des centaines de kilomètres à pieds afin de livrer des colis. Si dans Death Stranding, Sam et vous aviez pour mission de connecter l’intégralité des Etats Unis en reliant les avants postes des UCA les uns aux autres grâce au système chiral, sorte d’internet bien plus sophistiqué que le nôtre, cette suite ne bouscule pas l’identité de l’œuvre. Au terme de sa mission ainsi que des événements se déroulant dans le premier Death Stranding, nous sommes situés 11 mois plus tard pour cette suite. On dit au revoir à Bridges et cette fois-ci nous allons être obligé d’aider la société Drawbridge dans sa quête de vouloir connecter un autre continent.

Mais c’est là que vous allez forcément m’arrêter et me demander « mais attend, c’est quoi un Death Stranding ? ». Sachez que dans l’univers du bébé de Kojima, le monde des morts et le nôtre sont entrés en collision. Créant de ce fait un cataclysme qui précipite la fin du monde. Les morts se sont donc déversés dans le nôtre mais il est aussi arrivé que les vivants se retrouvent dans celui des morts, créant des « grèves » (mais pas ceux des syndicats NDLR), des sortes de purgatoires avant de se retrouver au paradis ou en enfer et propre à chacun(e) d’entre nous. Celles et ceux ayant réussi à revenir dans notre monde ont découvert le fait d’avoir développer un pouvoir appelé « DOOMS », capacité spéciale qui leur est propre. Par exemple, Sam Porter au moment de mourir, reviendra automatiquement dans notre monde et est donc considéré comme invulnérable. J’ai failli oublié une donnée essentielle : un Death Stranding, est une sorte de grosse explosion détruisant tout sur son passage et il se produit lorsqu’une personne meurt. Imaginez donc le monde au moment où le phénomène est apparu pour la première fois… Dès lors, les survivants se sont barricadés dans des bunkers les isolant du reste du monde. La responsabilité de les reconnecter les uns avec les autres vous reviendra et vous devrez accomplir l’impossible. Enfin, un mot sur le Réseau Chiral, sorte d’internet ultra avancé, il vous servira à la fois dans le scénario mais aussi dans le gameplay.

Si vous avez accompli le premier épisode, vous savez de quoi je parle, pour les autres, sachez qu’en reliant chaque avant poste en les connectant sur le réseau, vous débloquerez de la bande passante utile pour fabriquer des éléments vous aidant pour améliorer votre progression. Un pont ici, une route là, une échelle dans le coin ou de quoi descendre en rappel une falaise, le réseau chiral vous permettra de vous simplifier la vie en toutes circonstances et comme dans le premier, vous serez reliés aux joueurs, grâce une connexion asymétrique où vous ne verrez jamais aucun joueur dans votre partie mais ses créations sur le réseau apparaitront afin de pouvoir les utiliser pour vous.

Toujours dans le gameplay, notamment lors des fusillades contre les méchants, sachez qu’il a grandement été amélioré par rapport au premier épisode. Si le gameplay non létal est toujours priorisé, ce dernier vous offre bien plus de possibilités que le premier opus. Entre les armes à feux et/ou de corps à corps ainsi que des outils dont je tais la teneur, tout a été revu et corrigé afin de permettre aux joueurs d’agir comme bon lui semblera face aux ennemis humains et moins humains…

De plus, cette fois-ci, il vous faudra composer dans vos déplacements avec les conditions météo en temps réel. Un tremblement de terre, une crue des eaux, voir même des avalanches, jouent un rôle majeur dans vos déplacements et il faudra soit anticiper le terrain sur lequel vous allez vous rendre ou soit « faire » avec les aléas du direct. Effets garantis !

Pour le reste, il s’agira toujours de livrer des colis aux quatre coins du monde. Si dans n’importe quelle autre œuvre, nous pourrions parler de quêtes dîtes « FedEx » (pour rappel, les quêtes FedEx se résument à apporter un ou plusieurs objets d’un point A à un point B, n’ayant que peu d’intérêt si ce n’est celui de faire découvrir de nouvelles zones), dans Death Stranding, c’est le cœur de votre aventure. Il vous faudra enchainer les livraisons, à pieds ou en véhicules pour accomplir l’histoire principale ou bien viser les connexions 5 étoiles des avants postes, histoire de débloquer toujours plus d’équipements en tous genres (ainsi que leur reconnaissance éternelle). Sur mes 103 heures, j’ai cherché très tôt à me lancer dans le Platine (chose que je n’ai pas encore eu durant l’écriture de ce test). Pour se faire, l’un des trophées les plus ardus étant de maximiser les 5 étoiles de tout les avant postes que compte l’aventure, soit 42 structures. Si certains récompensent vraiment les efforts abattus, d’autres en revanche vont encore plus loin et développent un peu plus le scénario dans sa globalité à l’aide de missions secondaires très intéressantes à accomplir. Néanmoins, même si j’ai vraiment savourer mes plus de 100 heures, arrivé à un certain chapitre, l’histoire vous récupère pour ne plus vous lâcher jusqu’au générique de fin.

En effet, cette suite est pensée comme le premier épisode, avec un mélange de laisser le joueur libre de vaquer à ses occupations pour mieux le récompenser avec un scénario haletant. Je l’ai dit plus haut, vous incarnez toujours Sam Bridges et vous aurez la lourde mission de reconnecter le Mexique, qui sert avant tout de prologue, pour vous expliquer les mécaniques de gameplay, pour mieux ensuite vous lâcher dans la seconde immense zone qui vous attend vous et votre Cupidon, qui vous sert à reconnecter les avants postes entre eux. D’Ouest en Est pour finir au Sud, vous aurez donc la lourde tâche, longue, éprouvante mais gratifiante, d’accomplir toujours plus de livraisons. Mais vous ne serez pas seul(e) dans votre aventure puisque vous pourrez encore compter sur Fragile (Léa Seydoux, Inglourious Basterds, Mission Impossible Protocole Fantôme, 007 Spectre, Mourir peut attendre, La Vie d’Adèle), Dollman (Fatih Akin, Head-On, De l’autre Côté, Soul Kitchen en tant que réalisateur) ou bien et je m’arrêterais là sur l’énorme casting de fou furieux, le grand, l’immense, le beau Georges Miller (dois-je vraiment vous le présenter ?) qui sera le capitaine du DHV Magellan, un vaisseau capable de se déplacer entre le monde des morts et des vivants (notre capitaine Georges Miller qui peut nous conduire partout, je suis le seul à trouver le trait d’esprit vraiment chouette de la part de Kojima?).

Tout ce beau monde vous aidera à n’importe quel moment de votre aventure et assurent de leur présence une histoire profonde, émouvante, spectaculaire, marquante. Et encore, au niveau des superlatifs, j’en manque, puisque l’histoire ici racontée me marque plus que je ne l’aurais pensé de prime abord. Des sujets sont abordés qui m’ont bien plus « parlés » que dans le 1er opus et surtout, un final exceptionnel bien plus marquant dans sa mise en scène ainsi que les propos qui y sont dit le sont mieux que dans le premier, qui je m’en souviens encore très bien, m’avaient perdus en cours de route. Ici, ce n’est pas le cas et Hideo Kojima a réussi, selon moi, à se rendre audible et surtout d’une cohérence inattendue, me prouvant qu’il avait progressé dans sa façon de nous expliquer les tenants et les aboutissants de son scénario.

Ecrire sur le scénario de Death Stranding et cette suite, sans rentrer dans les détails pour vous éviter le moindre spoil que ce soit est, je vous l’avoue, une mission impossible, tant Kojima est un génie (oui, rien que ça, oui). Il nous prouve à quel point il est d’une immense culture mais aussi qu’il a à cœur de nous montrer de nouvelles choses et cela se ressent quand on découvre un nouvel avant poste, quand, dans le scénario, il use et abuse de techniques de théâtre et qu’il ne laisse rien au hasard, puisque souvent, je me suis fait la réflexion qu’un sujet va être abordé à un moment, puis on ne va plus vraiment y penser, pour mieux le revoir quelques heures après en nous faisant comprendre que rien n’est laissé au hasard et que le sens du détail est important.

Si vous avez accompli, comme moi, Death Stranding, vous connaissez la très grande culture musicale du monsieur et il remet le paquet une nouvelle fois dans cette suite en réutilisant son fameux placement d’une musique particulière alors que vous êtes en route vers une livraison de colis. L’effet fonctionne encore du tonnerre puisque la dite musique n’est pas gérée aléatoirement mais bien prévue comme le souhaite Kojima. De Woodkid à Low Roar, en passant par Ludvig Forssell, L’Original Soundtrack de Death Stranding 2 sert l’intrigue, l’aventure du joueur tout en l’accompagnant, partout, tout le temps. Le marque intérieurement, pour parfois le faire vibrer ou bien le rendre mélancolique, la musique marque de son empreinte le joueur que je suis (alors que j’écoute principalement du métal).

Je finirais par aborder l’aspect technique et je commencerais par le doublage français (vous remarquerez, je ne fais rien comme d’habitude pour ce test), qui est, une habitude chez les PlayStation Studios, de très haute volée. De plus, l’une des choses que j’aime le plus chez Hideo Kojima, c’est le respect qu’il a pour les acteurs et actrices de doublage (ici la langue française) en les affichant lors de la première apparition d’un personnage. Du côté du moteur graphique, c’est encore le Decima Engine, moteur maison du studio Guerilla Games (Horizon, Zero Dawn, Forbidden West), toujours à l’œuvre après le premier opus. Et encore une fois, il nous offre une excellente prestation.

Sur PS5 Pro, ça tourne en 60 FPS sans broncher et sans aucun problème et m’a offert une claque graphique comme d’habitude avec ce moteur graphique. Si la DualSense est une fois de plus utilisée à (très) bon escient (gâchettes, vibrations, haut parleur font le show dans vos mains), je vais tout de même tempéré légèrement mes propos plus que positifs sur la sur-utilisation des capacités de la PS5 puisque celle-ci m’aura bien fait peur. En effet, étant donné que le menu de la carte n’est pas limité en termes de FPS, toutes mes sessions ont été l’occasion pour ma PS5 Pro de souffler comme un Airbus A320 du futur, chose qu’elle ne m’a jamais fait depuis novembre 2024. De plus, si cela aurait pu être l’occasion pour le studio de réagir le plus vite possible, il n’en est finalement rien puisque ce très gros problème n’a toujours pas été fixé durant l’écriture de ce test. Fort heureusement, mis à part souffler comme un ventilateur de luxe, elle ne s’est jamais éteinte et j’ai pu enchainer de longues sessions quand je pouvais le faire.

Nous y sommes, voici que je peux enfin vous livrer mon avis sur ce Death Stranding 2 On The Beach. Si j’ai vraiment apprécié le premier volet, je trouve que cette suite est bien plus aboutie. Mieux écrite, avec des sujets et des thèmes qui me « parlent », je considère que Hideo Kojima nous propose une fois de plus un chef d’œuvre hors norme, en dehors des sentiers que nous connaissons toutes et tous en temps normal. Outre un scénario qui me marque, le fait de ressentir une immense solitude lors des livraisons joue énormément dans la vision que j’ai de cette suite puisque c’est l’un des sentiments que j’aime ressentir dans un jeu vidéo. Que ce soit dans Cyberpunk 2077, Kingdom Come Deliverance II ou bien Resident Evil 4 Remake (pour ne citer que les trois chef d’œuvres qui me marquent le plus sur ces dernières années post 2020), Death Stranding m’a proposé ce que j’aime dans sa partie gameplay, pour mieux me raconter son histoire et capter mon attention et mon intérêt dans son histoire ensuite. Ce que je ne pensais pas possible avant de me lancer, Hideo Kojima a donc réussi, pour moi, à m’offrir un chef d’œuvre sans commune mesure, sans forcément tomber dans le piège dont il était tombé pour le premier opus… Même si, jamais, je n’ai vu une œuvre aussi politique, engagée mais intelligente, que cette suite. Néanmoins, j’aimerais attirer votre attention sur le fait que cette suite, comme le 1er opus d’ailleurs, est une œuvre clivante. Si j’aime profondément Death Stranding, il se pourrait très bien que vous la détestiez pour les mêmes raisons qui font que je l’aime. Le fait est, pour moi, que seul Hideo Kojima, à l’heure actuelle, puisse proposer une œuvre clivante dans le paysage vidéoludique moderne est un exploit que lui seul est capable d’accomplir. Pour ça, mais aussi pour l’oeuvre en elle même, je ne peux que m’incliner devant le monsieur. Bravo Hideo Kojima et merci.


Alors que je ne le pensais pas capable d’un tel exploit, Kojima et son studio m’offre avec Death Stranding 2 On The Beach un chef d’œuvre sans commune mesure. Que ce soit dans son gameplay, ses graphismes, l’originalité de son OST, son casting 5 étoiles ou bien même son scénario, marquant, haletant, tantôt spectaculaire, tantôt intimiste, tout est une franche réussite. Chef d’œuvre absolu, il rejoint cette année, un certain Kingdom Come Deliverance II au rang des œuvres qui me marquent durablement. Petit bijou inoubliable qui mérite que lui filiez sa chance, au risque de ne pas aimer de votre côté.

  • Une suite magistrale, tant dans son scénario, que dans son gameplay
  • Le moteur Decima Engine, au meilleur de sa forme
  • Le doublage français
  • Un casting de fou furieux
  • Le personnage de Dollman, que je rêve de posséder pour de vrai
  • Une OST utilisée avec une très grande intelligence
  • Du grand Hideo Kojima
  • Une parfaite durée de vie
  • La PS5 Pro, poussée dans ses retranchements pour « rien »
  • Je ne dirais pas non pour un NG+

Auteur / autrice

  • YoannRatcliffe

    Rédacteur augmenté biberonné à la science fiction, explorateur chevronné, adorateur du mouvement cyberpunk, et aime se faire peur sur des survival-horror.

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