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[ Test ] Cyberpunk 2077 (Nintendo Switch 2) – Un portage cyberpunk !

YoannRatcliffe21 juin 202521 juin 2025

Bientôt 5 ans après sa sortie initiale (à quelques mois près), Cyberpunk 2077 signe un nouveau retour, cette fois-ci en étant l’un des titres de lancement de la Nintendo Switch 2. Après bien des déboires au fil des années et un retour en force au fil de ces cinq dernières années, voilà que CD Projekt Red se veut être ambitieux et porte son titre sur une plateforme à mille lieux de l’identité de son œuvre et pourtant jamais un portage n’aura été plus « cyberpunk » que Cyberpunk 2077 Edition Ultime. Explications (et avis) d’un portage bien plus évident qu’on ne pourrait le penser de prime abord.

VersionCommerciale et physique sur Nintendo Switch 2
Temps de jeuEnviron 15 heures (mais plus de 300h au total)
Histoire terminéeNon pas sur Switch 2 (Oui deux fois au total)
Complétion totaleNon communiquée
DifficultéNormal
Genre(s)Action-Aventure, RPG, FPS, TPS, Anticipation, Science Fiction
Date de sortie5 juin 2025
Prix (maximum conseillé)69.99€
Plateforme(s)Nintendo Switch 2
VoixAnglais, Français, Allemand, Espagnol, Italien, Russe, Polonais, Chinois simplifié, Coréen, Portugais (chaque pack de langue est à télécharger sur l’eShop)
Textes françaisOui
Connexion obligatoireNon

Avant de s’immerger comme il se doit dans ce test de la version Nintendo Switch 2, il me faut toutefois vous préciser quelques petits détails. Ce test ne vise absolument pas à vous dire à quel point je suis fou amoureux de Cyberpunk 2077 puisque je lui ai déjà consacré deux tests : le premier, sur la version PS4 Pro, testé sur PS5 et le second, sur l’extension Phantom Liberty, du temps où j’écrivais sur mon propre blog. Je vous propose donc de (re)découvrir mes deux papiers ci dessous.

LIRE LE TEST DE CYBERPUNK 2077

LIRE LE TEST DE L’EXTENSION PHANTOM LIBERTY DE CYBERPUNK 2077

Laisse moi te poser une question V. Une vie paisible ou une mort honorable ? Dexter Deshawn.

5 ans après la sortie initiale de Cyberpunk 2077, je vous le dit cash : CD Projekt Red revient de loin. De très loin même. Même si, depuis le départ, j’ai supporté le studio aveuglément en croyant en lui sans jamais faiblir, je n’aurais jamais cru à un tel retour en force. Jamais, le studio n’aura eu aussi raison de ma confiance envers lui et jamais un studio m’aura autant récompensé de la sorte. A partir de la version 1.23 du mois de juin 2021 (soit environ 5-6 mois après sa sortie) où j’ai pu découvrir l’aventure dans des conditions « décentes » mais aussi lors de la sortie de la mise à jour 2.0 et de l’unique extension, Phantom Liberty, sortie toutes les deux le 25 septembre 2023, Cyberpunk 2077 ne m’a abandonné un seul instant durant ces 5 dernières années. Je le redirais sans cesse, j’aime profondément Cyberpunk 2077 et jamais une œuvre comme celle-ci ne me marquera autant qu’elle ne l’a fait et ne le fais encore actuellement.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

Un résumé rapide du lore et du scénario s’impose toutefois si vous souhaitez savoir de quoi ça parle si jamais vous souhaitez lui donner sa chance (ce qu’il mérite amplement et ce que vous devriez faire). Dans Cyberpunk 2077, adaptation ultra fidèle du JDR papier de Mike Pondsmith (se situant bien après Cyberpunk 2013, sorti en 1988 et Cyberpunk 2020, sorti en 1990), vous incarnez V, que vous soyez un homme ou une femme, vous pourrez choisir le sexe de votre V (et bien plus encore dans un éditeur de personnage bien complet) et vous évoluerez dans la mégapole fictive de Night City, dans l’état libre de la Californie, en 2077, soit bien après les événements majeurs que sont l’effondrement des États-Unis en 1996, les guerres incessantes entre corporations rivales et le « Crash du Net » en 2022. Entre temps, l’essor et le progrès des technologies ont creusé les inégalités sociales. Dans l’univers de Cyberpunk (2077), règnent le chaos et les technologies de pointe, la pauvreté et les disparités dominent, les toutes puissantes mégacorporations (Militech, Arasaka et bien d’autres) imposent leur loi, supplantant les gouvernements traditionnels (on parle ici des NUSA pour New United States of America, présidée par Rosalind Myers). Parallèlement, le cyberespace émerge comme la « Nouvelle Frontière » de cette ère, amplifiant l’influence des technologies dans tous les aspects de la vie. Certains usages de la technologie se sont largement répandus, en particulier les ajouts d’implants cybernétiques ; ils proposent diverses augmentations physiques et mentales du corps humain comme les Mantis Blades ou bien les bras de gorilles pour ne citer que les plus emblématiques.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

Dans une ville rongée par la violence, la criminalité, la corruption et l’hégémonie des mégacorpo, survivre un jour de plus est un miracle en soit. Que vous choisissiez d’être un gosse des rues, un nomade ou bien un corpo-rat, votre destin prendra cours une première fois et vous deviendrez, aux côtés de votre meilleur ami Jackie Wells, un « Merc« , un mercenaire de bas étage prêt à accomplir n’importe quel contrat pourvu que les eddies (la monnaie de l’univers de Cyberpunk 2077, appelée euro-dollars ici abrégée en eddies, argot familier venu de la rue). Sauf que votre quotidien jusqu’ici difficile pourrait bien changer quand un fixer prestigieux (un fixer étant une personne donnant les contrats comme bon lui semble à qui le veut bien) offre le plus gros contrat jamais donné à un mercenaire. Et bien évidemment, tout ne se passera comme prévu… Vous perdrez absolument tout, y compris ce qui vous est le plus cher (mais aussi la vie, c’est ici que tout commence). Vous vous réveillez dans une décharge et vous n’aurez d’autres choix que de coopérer avec un certain Johnny Silverhand (incarné par Keanu Reeves). Votre objectif ? Survivre suffisamment longtemps pour vous sortir d’un incommensurable pétrin…

Et je n’en dirais pas plus. Un scénario fort, intelligent, qui marque durablement et qui fera réfléchir en permanence. Que ce soit l’histoire principale ou les quêtes secondaires, Cyberpunk 2077 marque son joueur en l’immergeant dans une aventure sans commune mesure, pardon, dans SON aventure. Parce que le personnage que vous incarnez n’est pas que V. C’est vous. C’est moi, c’est nous. C’est le joueur ou la joueuse venu ici pour (se) plonger dans une histoire qui brasse énormément de thèmes comme le deuil, le pardon, l’espoir. Tout ce que vous faîtes et dites dans votre aventure servira avant tout vos intérêts propres et à aucun moment vous ne viendrez en aide à quelqu’un si vous n’avez rien à y gagner au préalable. De plus, attendez vous à rencontrez des PNJ qui vous marqueront à vie, tant leur écriture et leur leitmotiv paraissent vrais, comme par exemple Judy, Panam, River, Takemura, Solomon Reed et bien évidemment Silverhand en tête qui est un immense connard abruti au grand cœur. 5 ans après, je me souviens encore parfaitement des PNJ qui sont bien plus que de simples personnages non joueurs et ont toutes et tous, chacun à leur manière, réussi à me toucher et me marquer durablement.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

La première fois que j’ai lancé ce portage Nintendo Switch 2 en mode portable/nomade, je me suis étonné de découvrir à quel point il était pertinent de n’y jouer qu’en mode portable. De mon côté et vous le verrez au travers des screenshots, je vous propose un comparatif entre la version portable et la version PS5 tournant sur PS5 Pro au niveaux des captures d’écrans, capturées avec le mode photo. Plusieurs raisons à cela, puisque je vous propose un comparo entre les deux versions que j’ai effectuées d’une part et de l’autre, vous faire comprendre la prouesse ici accomplies par le studio.

Tout d’abord, premier point positif, c’est le fait de faire tenir tout Cyberpunk 2077 + son extension Phantom Liberty + tout le contenu de toutes les mises à jour sorties précédemment sur une cartouche de 64 go. Mis à part être invité à télécharger le patch de langues françaises, Cyberpunk 2077 ne requiert donc pas de téléchargement supplémentaire lors de la première insertion de la cartouche dans la console.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

On a le choix entre le mode qualité à 30 images par seconde, et le mode performance visant les 40 FPS, aussi bien en mode docké que portable. Lorsque la console est posée dans son dock, le jeu cible la résolution de 1080p en s’appuyant sur le DLSS de Nvidia. Dans le mode qualité, la résolution varie dynamiquement entre 720p et 1080p. Dans le mode performance, la résolution peut descendre jusqu’à 540p pour maintenir la fluidité à 40 FPS. Je tiens à préciser que je parle bien quand la console est posée sur son dock.

Puisque en mode portable ou nomade, c’est selon, puisque le mode qualité fonctionne entre 450p et 810p, tandis que le mode performance oscille entre 360p et 720p. Là encore, le DLSS de Nvidia aide puisque il va se charger de reconstruire l’image pour la rendre plus nette. Seule limite à la technologie de Nvidia : les mouvements rapides en véhicules, puisque lancé à toute berzingue dans les rues de Night City, c’est le flou assuré qui s’invite à la fête.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

De mon côté, précision obligatoire, j’ai toujours cherché, au maximum, à y jouer exclusivement en mode portable en mode qualité (soit en 30 FPS). Parce qu’il y a une vraie différence de qualité entre y jouer en mode portable et en mode docké. L’écran de la Switch 2 sublime réellement l’aventure alors qu’une fois repassé en grand écran, c’est, pour le coup, une vraie bouillie de pixel.

De plus, si je n’ai pas testé l’écran tactile ni le mode souris, deux options m’offrent un plaisir de jeu supplémentaire. Le premier, le gyroscope qui permet de viser ses ennemis avec une précision inégalable et le second, surprenant, la spatialisation du son de la console. Je ne m’attendais pas à ce que la Switch 2 propose cette technologie sans avoir recours à un casque et je vous assure que niveau immersion, c’est un plus non négligeable.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

Maintenant que vous avez les mêmes informations techniques que moi sur cette version Switch 2, voici ce que ça donne, console en mains, installé dans le canapé. Si les intérieurs sont absolument magnifiques, aidés par un écran LCD qui fait des merveilles entre le clair obscur (non, rien à voir avec un certain jeu français) ainsi que les lumières des néons, les textures des PNJ auquel vous vous adressez n’ont pas à rougir du comparo avec la version PS5. Si en intérieur, c’est vraiment superbe, le bât commence à blesser un petit peu une fois lâché dans les rues de Night City puisqu’on se doute bien que des concessions ont été faites pour réussir à faire tourner ce monstre qu’est Cyberpunk 2077. En premier lieu, sachez que le trafic routier et piéton a considérablement été réduit (ce qui est totalement logique et renvoi purement et simplement à la version PS4 Pro), la vie au sein de Night City a elle aussi été un peu amoindrie mais jouit tout de même des ajouts des mises à jours précédemment introduite, comme par exemple les fusillades en véhicules.

Si, en mode qualité, on pourrait craindre que l’aventure ne soit pas fluide, j’ai été étonnamment surpris de voir un 30 FPS costaud et pour le coup, solide, assurant alors une image loin d’être aussi fluide qu’un 60 FPS mais pour le coup agréable aux yeux. Mis à part un léger problème d’étirement des textures une fois dans Night City, je n’ai pour ainsi dire rien à redire négativement parlant côté technique.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

Découvrir ou redécouvrir Cyberpunk 2077 sur Nintendo Switch 2 en 2025 est l’assurance d’avoir affaire à un portage solide et respectueux de son joueur et de l’oeuvre. Même si je pourrais vous dire qu’effectivement la comparaison entre une version PS5 et cette version Switch 2 c’est le jour et la nuit en terme de qualité, ce serait rentrer dans le débat du burger qui vient du fast food et de celui qui est fait maison. Ca n’a pas lieu d’être et ce serait une pure perte de temps. Mon avis de fou amoureux ayant acheté la machine uniquement pour ce portage est qu’une fois lancé, j’ai beaucoup de mal à m’arrêter, puisque plongé et immergé dans une aventure que je ne connais que trop bien certes mais qui confirme encore une fois à quel point l’œuvre de CDPR a un impact certain sur la personne que je suis. De plus, je tiens à me répéter mais tout le contenu est présent sur la cartouche. Que ce soit les ajouts de contenu des différentes mises à jours ainsi que l’extension Phantom Liberty, tout est là et bien là, vous assurant plus de 100 heures d’une aventure mâture, mémorable et profondément respectueusement du bébé de Pondsmith qui se permet de développer encore plus un univers qui mérite que l’on y penche si la SF est votre dada.

Maintenant, pourquoi CD Projekt RED s’est lancé dans ce portage à des années lumières de leur terrain de prédilection ? Hé bien, la réponse se trouve dans la question. Vous pourriez très bien me dire que c’est pour s’ouvrir sur le public Nintendo, qui ne font pas l’effort de se tourner vers les autres écosystèmes et vous pourriez très bien avoir raison mais sur le fond, voir Cyberpunk 2077 sur Nintendo Switch 2 est quelque peu… Logique. Logique dans le fond, les propos sous jacent de l’œuvre (mais aussi auquel le sous genre se rattache), logique dans la forme, sortir des sentiers battus, eux qui sont et restent attachés au format physique depuis leur tout début (quand on connait l’histoire de la société et de ses deux fondateurs, c’est encore plus évident). J’en prend pour exemple que CDPR est à l’heure actuelle le seul éditeur tiers sur Nintendo Switch 2 à proposer une vraie et solide version physique de son jeu alors que les autres proposent une simple « Key cards ».

Version Nintendo Switch 2

Version PS5

Cela étant dit et je finirais sur le gros point négatif de cette version Nintendo Switch 2, ce n’est pas le jeu en lui même mais l’autonomie d’une console qui n’a « que » 2 semaines à l’heure où ce test est écrit. En effet, alors que je me refuse catégoriquement d’y jouer en mode docké, mes parties durent toutes entre 2h et 2h30 et baisse du rideau, m’obligeant d’une part à sauvegarder rapidement mais aussi à me forcer à faire avant tout le contenu principal et poursuivre l’histoire avant le contenu secondaire. Autant vous dire que parfois j’étais un brin frustré et je n’avais qu’une envie : que la console se recharge pour repartir dans les rues de Night City, une ville que je commence à connaitre pratiquement par cœur à force de l’arpenter.

Version Nintendo Switch 2

Version PS5


A qui s’adresse ce portage Nintendo Switch 2 ? Certainement pas à moi qui ai déjà platiné à deux reprises Cyberpunk 2077 sur PS4 et PS5 mais bel et bien à celles et ceux ne jouant que sur la console hybride de Nintendo. Si, comme moi, vous avez le choix de la plateforme, privilégiez les autres versions (ne serait ce que pour jouir des 60 FPS). En attendant, cette mouture Switch 2 est suffisamment solide pour ne pas rougir face aux autres versions et se permet même d’avoir des arguments pour se distinguer (spatialisation du son, mode souris, tactile). En attendant, l’avis d’un joueur connaissant l’œuvre et aimant suffisamment le studio pour se payer une console rien que pour le portage d’un jeu qui le marque encore des années après étant que d’y jouer tranquille dans son divan vaut vraiment le coup et le coût et je ne regrette en rien d’avoir encore fait confiance à CDPR. Dernière chose : il est là mon jeu de l’année, comme chaque année depuis 2021 (même si un certain RE4 Remake en 2023 lui a vigoureusement pris le titre). Il y a les autres et puis il y a Cyberpunk 2077, qui n’évolue décidément pas dans la même sphère.

  • Un portage bien plus évident qu’on ne pourrait le penser, tant dans son fond que dans sa forme
  • L’intégralité du jeu plus tous ses contenus proposés sur une unique cartouche bien pleine, bien choom et bien nova de 64 Go
  • En mode nomade, l’immersion est vraiment surprenante
  • Un mode qualité (30 FPS) ultra solide en mode nomade
  • Encore et toujours l’œuvre de ma vie
  • La spatialisation du son en mode nomade, sans casque, c’est du génie tout simplement
  • L’absence de trophées sur Switch, c’est finalement pas si mal

  • Une fois en mode docké, c’est injouable graphiquement parlant
  • L’autonomie de la console, c’est criminel de faire ça, surtout quand on parle de Cyberpunk 2077
  • Je pinaille mais j’aurais aimé une version physique aussi bien fournie que la version de 2020

Auteur / autrice

  • YoannRatcliffe

    Rédacteur augmenté biberonné à la science fiction, explorateur chevronné, adorateur du mouvement cyberpunk, et aime se faire peur sur des survival-horror.

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