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[ Test ] Battlefield 6 – La guerre en haute définition, ça en jette !

YoannRatcliffe5 novembre 20254 novembre 2025

Edité par Electronic Arts et développé par DICE, Criterion, Motive et Ripple Effect sous le « label » Battlefield Studios, Battlefied 6 est sorti le 10 octobre dernier. Désireux de vouloir se racheter après Battlefield 2042, le quatuor de studios ici à l’œuvre remet la guerre à notre époque contre une SMP extrêmement vénère, dans une campagne solo de bon aloi.

VersionDématérialisée sur PS5, fournie par l’éditeur
Temps de jeuEnviron 7h pour le solo
Histoire terminéeOui
Complétion totale26% des trophées/54
DifficultéStandard
Genre(s)Action, Guerre, Anticipation, FPS, Solo, Multi
Date de sortie10 octobre 2025
Prix (maximum conseillé)79.99€
Plateforme(s)PS5, Xbox Series X|S et PC
VoixAllemand, Anglais, Chinois, Coréen, Espagnol, Français, Italien, Japonais, Polonais
Textes françaisOui
Connexion obligatoireOui, que ce soit Solo et/ou multi

« La guerre. La guerre ne meurt jamais ». Ron Perlman, Fallout 3

Avant de nous lancer dans ce test, gardez à l’esprit que je ne vous parlerais que de la campagne solo de ce Battlefield 6. Je n’ai pas touché une seule fois au multi et me suis donc concentré uniquement sur la campagne, dans sa difficulté standard.

2027. Alors qu’une SMP (Société Militaire Privée) appelée Pax Armata étend sa suprématie à travers le globe, une attaque surprise contre une base de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord) et l’assassinat de son secrétaire général pousse les pays membres à disloquer les traités de l’Organisation pour grossir les rangs de la SMP. Face à cette situation qui pourrait lancer purement et simplement la troisième guerre mondiale, le reste de l’OTAN et la CIA se lancent conjointement à la poursuite de la Pax Armata avec un escadron d’élite, des Marines Raiders réunis sous le nom de code Dague 1-3 afin de faire tomber la SMP, peu importe les moyens employés. Sauf que le conflit global n’est que la partie émergée d’un jeu de dupes politique…

Développé à l’aide de l’increvable moteur graphique Frostbite, Battlefield 6 nous propose donc une partie solo dans laquelle je n’ai pas boudé mon plaisir. Lorgnant du côté des sagas propre à Tom Clancy (Splinter Cell, Jack Ryan), Stephen Hunter (Shooter) et Lee Child (Reacher), voir même la campagne solo du reboot de Call Of Duty Modern Warfare de 2019, la course poursuite de l’escouade Dague 1-3 contre la Pax Armata va nous entrainer aux quatre coins du monde, y compris à domestiquer le conflit directement dans les rues de New York, dans des missions où le conflit se veut avant tout urbain.

Composée d’un certain nombre de niveaux, vous incarnerez tour à tour les membres de l’escouade, en découvrant leur point fort à toutes et à tous. Pensée à la fois comme un tutoriel de luxe, mais aussi à une histoire de guerre comme on voit tous le temps dans les BF et les COD, cette campagne de Battlefield 6 m’a fait passer un très bon moment. Même si, au vu du matériel de base (la fin de l’OTAN, l’impressionnante prise de pouvoir d’une SMP ayant des finances, des hommes et du matériel presque infinis), j’aurais aimé que le quatuor de studio aille plus loin dans son travail d’écriture et de mise en scène, le résultat proposé ici tient suffisamment la route en l’état pour me faire vous dire que j’ai passé un bon moment, en 7 heures de jeu, même si il y a tout de même de la re jouabilité (plus haute difficulté, collectibles), je sais donc que j’en suis repu.

Toujours pensé comme un FPS qui bascule en TPS lorsqu’on monte dans un véhicule, tout est fait pour vous immerger dans votre personnage. Que ce soit les sensations lors des échauffourées où les balles fusent ou lors des sorties nocturnes, tout est donc fait avec un soin extrême pour vous faire incarner votre personnage. Cela fonctionne particulièrement bien sur moi, je prends pour exemple les fois où j’ai vu mon copain ou ma copine tomber sous les balles de la Pax Armata et me prendre une bastos dans le derrière pour le/la remettre sur pied. De plus, les nombreuses cinématiques qui parsèment l’histoire est l’occasion d’admirer vos compagnons de guerre sous toutes les coutures.

Du côté des graphismes, et les captures d’écrans maisons vous l’attesteront également, BF 6 m’a mit une petite claque. C’est beau, tout le temps, dans les intérieurs (et leur détails) que dans les rues en extérieurs. De plus, le moteur ne fait pas que de nous en mettre plein les yeux, il nous permet aussi de nous rappeler qu’un BF, c’est avant tout la destruction de ses environnements. Ici, ça explose de partout et si il m’est arrivé d’en faire les frais, je me suis également servi de cette mécanique dans mes nombreux échanges de joyeusetés contre une IA somme toute classique. Pas de fulgurances de ce côté là mais ce n’est pas bien grave.

Néanmoins, si la fête aux beaux graphismes est de la partie, celle technique est un peu plus nuancée. Déjà, je dénonce fermement la connexion obligatoire pour la campagne solo, qui n’est ni excusable ni compréhensible. J’en ai fait les frais, étant obligé de patienter dans la file pour accéder à la campagne solo et ce même si nous sommes quasi un mois après la sortie du jeu. De plus, fait un peu étrange, il m’est arrivé de devoir recharger un niveau entier puisque le jeu ne voulait pas me faire reprendre à un checkpoint.

De plus, le doublage intégralement en français m’a fait lever un sourcil en l’air, en écoutant parler certains personnages en me faisant me dire que nous sommes en présence d’une VFQ (version française Québécoise). Cela me fait un peu mal au cœur de voir qu’EA nous proposera dorénavant des VFQ pour des clauses liées à l’IA (l’éditeur est autorisé de ce fait à utiliser la voix de ces comédiens pour « entraîner » l’IA)… Je n’ose pas penser au prochain Mass Effect sans Boris Rehlinger…

On arrive enfin à la partie où je vous donne mon avis ! Ce que j’aime le plus particulièrement dans les COD et les BF (mais aussi les Medal Of Honor en leur temps), c’est leur campagne solo. Pour en avoir fait un certain nombre, je me souviens notamment de la trilogie Modern Warfare (et de son reboot), celle de Battlefield Hardline, BF1 et BFV. Accomplir la campagne solo d’un titre qui se veut être multijoueur avant tout à un petit goût d’irrévérence et d’insolence que j’apprécie particulièrement. Si je n’ai pas boudé mon plaisir une fois de plus, il est dommage d’être en présence de 4 studios de renom pour un résultat aussi « sage ». Parce que la matière est là et que l’on aurait pu avoir entre les mains quelque chose de plus travaillé, qui ose prendre bien plus de risques que ce à quoi on a droit.

Sachez EA (et même toi Activision/Microsoft) que des joueurs ne jouent qu’à vos campagnes solo et ne vont jamais dans votre multi. Nous sommes une minorité certes, mais nous existons quand même. J’en fais partie, pour preuve, ce test exclusivement sur la campagne solo de ce Battlefield 6.


Un OTAN au bord du délitement, une SMP avec un nom bien badass pour une escouade bien attachante, Battlefield 6 nous propose une campagne solo de bon aloi, lorgnant sur les grands noms, écrivains d’histoires de guerre que je ne connais que trop bien. Efficace, spectaculaire, avec en prime le moteur Frostbite en giga forme, il est tout de même un peu dommage de voir que 4 studios de grands noms ne sont pas capables de produire plus qu’une simple campagne divertissante servant avant tout de tutoriel de luxe pour un opus désireux de se racheter une réputation, tout en allant chasser sur les terres de l’hégémonique Call Of Duty et ses skins de chevaux en tutu rose.

  • Une histoire de guerre qui se laisse suivre avec plaisir…
  • Pax Armata, un nom qui claque bien pour une SMP !
  • L’escouade Dague 1-3, auquel on finit par s’attacher, mention à Carter, Lopez, Espina et Murphy
  • Le moteur Frostbite, plus en forme que jamais
  • Une durée de vie correcte (7h en standard)
  • … Mais qui aurait pu être plus détaillée, mieux écrite et traitée par ses 4 studios
  • La VFQ à la place d’une VF pour une histoire d’IA, vraiment EA ?
  • Connexion obligatoire pour du SOLO, franchement, où va t-on, je vous le demande

Auteur / autrice

  • YoannRatcliffe

    Rédacteur augmenté biberonné à la science fiction, explorateur chevronné, adorateur du mouvement cyberpunk, et aime se faire peur sur des survival-horror.

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